Définitiondu destin. L'origine du mot est " taqdir ", évaluation, " tadbir ", réfléchir sur les suites de quelque chose, faire fonctionner quelque chose suivant un systÚme précis avec un but. Comme lorsqu'Allah dit : " Nous avons créé toute chose avec mesure," Sourate Al Qamar, verset 49.
Accueil > moral > Comment savoir si je lui plais, ces 3 signes qui ne trompent pas ! Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en dĂ©veloppant un projet qui a du SENS. AprĂšs avoir accompagnĂ© plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prĂ©nom et votre email sur la page suivante pour y accĂ©der Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement dĂ©jĂ  + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous dĂ©sinscrire Ă  tout moment. Depuis votre rencontre, vous ne faites plus que penser Ă  lui et au bonheur que vous pourrez vivre Ă  deux. Avant d’aller plus loin et au risque de tomber de haut, vous aimeriez savoir si ce sentiment est rĂ©ciproque. Mais, vous ne savez pas comment vous y prendre. Vous ĂȘtes peut-ĂȘtre timide et pas extravertie pour aller vers lui au risque d’ĂȘtre vue comme une femme facile ? Et pourtant, cet homme est peut-ĂȘtre amoureux de vous et vous risquez de passer Ă  cĂŽtĂ© de l’homme amoureux de vos rĂȘves. Avec cet article, ne vous cassez plus la tĂȘte et aller vers l’homme de vos rĂȘves tout en ayant la rĂ©ponse positive Ă  la question comment savoir si je lui plais.
DĂ©sormais il faut acquĂ©rir un Ă©tat d’esprit optimiste et faire le point sur vos qualitĂ©s. Cesser de faire une fixation sur votre cĂ©libat ou vos problĂšmes sentimentaux, ne vous demandez plus vais-je trouver l’amour. Vous allez devoir agir et cela commence par crĂ©er un environnement favorable.

Vous ĂȘtes certainement nombreuses Ă  vous demander comment savoir s’il est amoureux. Vous vous demandez surement si vous ĂȘtes tombĂ©e sur un homme qui vous aime autant que vous, vous ne voulez sans doute pas ĂȘtre déçue et avoir le cƓur brisĂ© par la suite. Vous ne serez pas en mesure de tout dĂ©celer, mais il y a toutefois certains signes qui vous aideront Ă  savoir s’il est amoureux de vous Lisez la suite pour dĂ©couvrir quelques-unes des façons les plus efficaces de savoir si quelqu’un vous aime vraiment ou non
 1. Savoir s’il est amoureux Ă©tudiez son regard Son regard peut en dire long sur ses intentions. S’il vous fixe du regard, il veut apprendre Ă  vous connaitre davantage. Il craque pour vous et il vous fait passer le message par son regard. S’il fuit votre regard, tout n’est pas perdu, il est peut-ĂȘtre timide ! S’il n’arrive pas Ă  vous regarder, il cherche peut-ĂȘtre les bons mots pour vous impressionner. Ne soyez pas pessimiste. 2. Il cherche des excuses pour vous parler ? Un bon moyen de savoir s’il est amoureux S’il vous appelle tous les jours, s’il vous envoie des messages Ă  longueur de journĂ©e ou s’il cherche des prĂ©textes pour vous parler, cela a une signification. Une personne amoureuse ne peut s’empĂȘcher de vouloir ĂȘtre en contact avec l’ĂȘtre aimĂ©. S’il parle constamment de vous Ă  ses amis ou ses proches, il y a peut-ĂȘtre de l’amour dans l’air. S’il ressent le besoin irrĂ©pressible de parler de vous, c’est parce que vous avez attirĂ© son attention et que vous ne lui ĂȘtes pas indiffĂ©rente. 3. Savoir s’il est amoureux fait-il de vous sa prioritĂ© ? A-t-il refusĂ© une sortie entre amis ou une partie de foot juste pour passer du temps avec vous ? C’est qu’il tient Ă©normĂ©ment Ă  vous, voire plus. S’il vous aime, il saisira chaque occasion de vous retrouver en tĂȘte Ă  tĂȘte. Il sera plus attentionnĂ© et fera en sorte de rĂ©aliser vos moindres dĂ©sirs. Les vĂŽtres passeront souvent avant les siens. 4. Savoir s’il est amoureux en s’intĂ©ressant Ă  son comportement Il se comporte diffĂ©remment de d’habitude en votre compagnie. Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  demandĂ© pourquoi ? Il fait simplement tout pour vous plaire. S’il se rappelle des moindres dĂ©tails de la conversation que vous aviez eue il y a une semaine, s’il s’habille en fonction de vos gouts, si Ă  chaque fois qu’il vous voit son visage s’illumine, ce n’est certainement pas anodin
 5. Savoir s’il est amoureux vous parle-t-il du futur ? Lorsqu’il est en votre compagnie, il vous parle du futur, de votre futur commun ? Soyez rassurĂ©e il est amoureux de vous ! Vous savez sans doute qu’en matiĂšre d’engagement, les hommes n’aiment pas se prĂ©cipiter. Si le vĂŽtre vous parle de projets, c’est parce qu’il vous voit encore ensemble pour un bout de temps ! Vous avez toutes les clĂ©s en main pour rĂ©pondre Ă  la question comment savoir s’il est amoureux ». A vous de jouer ! Et vous les filles, quels sont les signes qui vous indiquent Ă  tous les coups qu’un homme a des sentiments pour vous ?

Tragiquedestin du premier cobaye de la thĂ©orie du genre. Le 22 aoĂ»t 1965, Ă  l’hĂŽpital Saint-Boniface de Winnipeg, ville du sud du Canada, naissent de beaux jumeaux en pleine santĂ©, Bruce et Brian Reimer. Fils de Ron, 20 ans, ouvrier dans un abattoir, et de Janet, 18 ans, serveuse au Red Top Diner, ils Ă©taient promis Ă  une existence 1 Aucune rĂšgle n’indique aprĂšs combien de temps un ex 2 Attendre que son ex revienne rend 3 Attendre son ex ne veut pas dire rester 4 Combien de temps pour reconquĂ©rir son ex n’est pas la question 5 Peut-on rĂ©cupĂ©rer son ex plus vite avec des techniques spĂ©cifiques ? Oui et non
 6 Les hommes reviennent plus vite que les 7 Il n’y a pas de limite qui indique combien de temps attendre son ex avant d’abandonner Vous aimez votre ex, mais il vous a quittĂ© et vous ĂȘtes dĂ©vastĂ©. Comme dans tous les cas de souffrance, on a alors deux prioritĂ©s en tĂȘte Comment mettre fin Ă  son chagrin ? Quand va-t-il disparaĂźtre ? Si vous ĂȘtes convaincu que votre ex est l’amour de votre vie, la problĂ©matique s’exprime presque invariablement de cette façon Au bout de combien de temps peut-on rĂ©cupĂ©rer son ex ?Rassurez-vous, c’est la question principale que nous recevons sur JRME et soyez certain que nous avons des ressources pour vous accompagner au mieux dans cette pĂ©riode difficile. Nous possĂ©dons bon nombre de rĂ©ponses et de techniques pour vous aider Ă  retrouver l’amour le plus rapidement possible. Mais une chose est sĂ»re attendre le retour de son ex ne se fera pas les bras croisĂ©s ! Ce n’est pas de la magie, c’est un cheminement qui commence par la connaissance de ces 7 vĂ©ritĂ©s. Êtes-vous prĂȘt Ă  avancer, guidĂ© par nos experts ? 1 Aucune rĂšgle n’indique aprĂšs combien de temps un ex revientVous vous doutiez bien, en cliquant sur cet article, que vous n’alliez pas recevoir de date butoir ferme et dĂ©finitive Ă  votre questionnement
 Les ex reviennent au bout de combien de temps en gĂ©nĂ©ral ? Les dĂ©lais sont variables pour chacun, bien sĂ»r ! Et c’est mĂȘme plus inhĂ©rent aux situations qu’aux personnes, en rĂ©alitĂ©. Si, par le passĂ©, votre ex Ă©tait retombĂ© dans les bras d’un amour prĂ©cĂ©dent le vĂŽtre au bout de 3 jours, ça ne veut pas dire qu’il reviendra vers vous en si peu de temps. Faites-vous une raison !En rĂ©alitĂ©, les facteurs Ă  prendre en considĂ©ration sont multiples. Si l’on s’attarde sur cette Ă©tude de l’INSEE, De la rupture conjugale Ă  une Ă©ventuelle remise en couple l’évolution des niveaux de vie des familles monoparentales entre 2010 et 2015, il y a des pistes trĂšs intĂ©ressantes Ă  retenir. Certes, elle analyse les personnes qui, aprĂšs une sĂ©paration, se sont remises en couple sans spĂ©cifier s’il s’agit de leur ex ou non, nĂ©anmoins, on peut en retirer quelques conclusions premier chiffre ne va pas vous plaire il faut en moyenne 2 ans, tous Ăąges confondus de 26 Ă  65 ans, pour qu’environ 50 % des cĂ©libataires ayant vĂ©cu une rupture sentimentale se mettent Ă  nouveau en mĂ©nage. Mais ne paniquez pas tout de suite ceci n’est qu’une statistique trĂšs vaste. Lorsqu’on Ă©chantillonne plus prĂ©cisĂ©ment les groupes de sujets, on s’aperçoit que certaines tendances ressortent. Par exemple, plus on est jeune ou plus on est diplĂŽmĂ©, et plus vite on retente sa chance en amour. Ce que nous avons constatĂ© Ă  JRME avec les milliers de coachĂ©s que nous avons aidĂ©s pour surmonter une rupture amoureuse, c’est qu’une moyenne de 2 mois d’attente avant de rĂ©cupĂ©rer son ex semble raisonnable. Petit apartĂ©, savez-vous qu'il est possible de dĂ©terminer en 2 minutes vos chances de reconquĂ©rir votre ex ? GrĂące Ă  un quiz Ă©laborĂ© par notre Ă©quipe d’experts, vous pourrez accĂ©der Ă  des rĂ©sultats et conseils personnalisĂ©s pour VOTRE reconquĂȘte amoureuse. Notre quiz unique vous permettra Ă©galement d'accĂ©der Ă  une formation gratuite animĂ©e par Antoine, Ă  des contenus inĂ©dits qui vous seront transmis directement par email, ou encore d’obtenir un rendez-vous avec l’un de nos conseillers. Alors, qu’attendez-vous pour prendre en main votre reconquĂȘte ? Mais ne vous ruez pas tout de suite sur votre calendrier pour marquer la date fatidique dans 60 jours au marqueur rouge ! Demandez-vous plutĂŽt ce qui vous rend si impatient de savoir au bout de combien de temps un ex revient. Pour cela, commençons par analyser ce qui se passe dans votre tĂȘte
 2 Attendre que son ex revienne rend impatientC’est dĂ©sormais une certitude la douleur, comme celle particuliĂšrement rĂ©elle et sĂ©rieuse du cƓur brisĂ©, provient du cerveau et non de la moelle Ă©piniĂšre comme on l’a longtemps supposĂ©. Quel rapport avec la souffrance psychologique dans laquelle le fait d’avoir rompu vous a plongĂ©, me direz-vous ? Eh bien c’est parce que la douleur est une expĂ©rience sensorielle, mais aussi Ă©motionnelle comme nous l’explique cet article du journal du CNRS. Et c’est de lĂ  que provient l’impatience de retrouver son cerveau humain est programmĂ© pour Ă©viter la douleur et l’effort et met tout en Ɠuvre pour favoriser la sensation de bien-ĂȘtre. C’est ainsi qu’il est en quĂȘte perpĂ©tuelle de circuits de rĂ©compense qui lui amĂšnent au plus vite la satisfaction et le plaisir, dans lequel entre en jeu la fameuse dopamine, dite aussi “hormone du bonheur”. Du coup, la solution la plus immĂ©diate Ă  rĂ©tablir le calme dans votre cerveau, c’est de revenir Ă  la situation ayant prĂ©cĂ©dĂ© le chaos votre couple. Et voilĂ  que soudain et peut-ĂȘtre mĂȘme malgrĂ© vous, la question qui tourne en boucle dans votre tĂȘte, c’est “combien de temps pour rĂ©cupĂ©rer son ex” Ă  traduire en vĂ©ritĂ© par “quand aurais-je ma dose de dopamine ”. Ce n’est, certes, pas votre faute, mais ne vous mĂ©prenez pas ! Si vous ne vous en tenez qu’à ça, l’impĂ©riositĂ© de satisfaire ce besoin aura des bienfaits aussi brefs et efficaces que si vous avaliez une tablette de chocolat. C’est un feu de paille en quelque supplanter la douleur et la compulsion qui vous font croire que seul le retour de votre ex vous aidera Ă  aller mieux, il faut biaiser le cerveau, c’est-Ă -dire dĂ©tourner votre attention sur autre chose de plus positif. L’hypnose ou la mĂ©ditation sont de plus en plus reconnues par le corps mĂ©dical pour leurs actions antalgiques. En effet, si l’on prend l’exemple de la mĂ©ditation de pleine conscience qui incite Ă  se focaliser sur sa respiration ou sur des projections mentales d’environnements apaisants, la douleur prend une place secondaire dans le cerveau et se fait moins lancinante dans votre poitrine, moins envahissante, plus supportable. Par consĂ©quent, bien que vous n’ayez pas d’autre choix que celui d’accepter votre peine, vous pouvez tout Ă  fait la rendre plus tolĂ©rable pour commencer Ă  vous reconstruire sur des fondations solides, tout comme une 3 Attendre son ex ne veut pas dire rester passifVous savez maintenant ce qui se passe dans votre tĂȘte et dans votre corps, et vous parvenez Ă  gĂ©rer cette hĂąte si empoisonnante. Permettez-moi, cette fois-ci, de vous faire gagner un temps prĂ©cieux en vous livrant ce fait qui vous sera trĂšs utile. Le temps que prendra la reconquĂȘte de votre ex ne dĂ©pend pas uniquement de vous ou de votre ex et encore moins de nous. Par contre, ce qui est certain, c’est que votre ex a besoin de ce temps, et vous aussi. Donc respirez un grand coup et rendez cette attente constructive pour vous, en engageant dĂšs que possible les questionnements de fond. Ce sont eux qui vous feront avancer vers le bonheur auquel vous avez droit, quel qu’il a beau l’avoir entendu des dizaines de fois en maintes occasions, il est difficile d’admettre que les torts sont presque toujours partagĂ©s, surtout en matiĂšre de cƓur. MalgrĂ© tout, c’est une vĂ©ritĂ© universelle qu’il est prĂ©fĂ©rable d’accepter au plus tĂŽt. Au lieu de se lamenter et de se positionner en victime comme si le fait que votre ex se soit Ă©loignĂ© relevait du sort qui s’acharne contre vous, demandez-vous plutĂŽt quelle est votre participation dans l’engrenage qui vous amenĂ© Ă  cette impasse amoureuse. L’idĂ©e ici n’est pas de vous fustiger et encore moins de vous flageller, c’est plutĂŽt de mettre le doigt sur vos manquements, car une fois identifiĂ©s, ils pourront certainement ĂȘtre corrigĂ©s. Évidemment, votre ex a sa part d’impairs aussi et vous pouvez tout Ă  fait en faire la liste, si ça vous aide Ă  vous sentir mieux, mais ne tombez pas dans les travers de la colĂšre et du rĂšglement de comptes qui ne peuvent pas trouver d’issue heureuse. Essayez d’avoir une vision claire et dĂ©tachĂ©e de la dĂ©gringolade de votre couple, quitte Ă  vous faire aider par un regard extĂ©rieur neutre tel celui d’un coach ou un bien que tant que vous ne faites pas ce travail d’introspection, vous ne pouvez pas avancer, ou du moins de façon pĂ©renne. Parce que l’enjeu n’est pas de reconquĂ©rir votre ex en un claquement doigts, mais de reconstruire une relation amoureuse stable et durable, c’est-Ă -dire qui a su tirer les leçons de ses prĂ©cĂ©dentes erreurs. MĂȘme si votre tĂȘte est embrouillĂ©e et que vous n’avez surtout pas l’envie ou l’énergie pour rĂ©flĂ©chir, accordez-vous au moins quelques jours pour vous apaiser. Si cet Ă©tat perdure, consultez un professionnel de santĂ©, car il ne faudrait pas que vous tombiez dans la dĂ©pression amoureuse. Mais vous n’y couperez pas cette rĂ©flexion est un passage obligatoire et plus vous reculerez l’échĂ©ance, plus vous en perdrez justement, du temps. En rĂ©sumĂ©, pour faire revenir votre ex plus vite, vous devez faire le deuil de votre ancienne relation pour en construire une nouvelle plus solide, forte de l’expĂ©rience de votre prĂ©cĂ©dent Ă©chec sur lequel vous aurez longuement et objectivement 4 Combien de temps pour reconquĂ©rir son ex n’est pas la question principaleSi savoir dans quel dĂ©lai vous pouvez espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer votre ex n’est pas la question principale, quel est l’intĂ©rĂȘt de cet article, dans ce cas ? C’est de vous faire comprendre que le laps de temps entre ce que vous voulez et ce que vous obtenez ne doit pas ĂȘtre central dans votre entreprise de reconquĂȘte de votre ex. L’important est de prendre soin de vous en prioritĂ©, avant de vous occuper de votre couple et de ce qu’il reste Ă  effet, les relations amoureuses Ă  problĂšmes ont tendance Ă  se rendre mutuellement le quotidien infernal, jusqu’à ce que l’un des deux dise “STOP !” Si vous revenez vers votre ex en le suppliant de vous reprendre, en vous prĂ©sentant Ă©motionnellement instable et perdu, votre partenaire ne vous verra que comme une source de problĂšmes potentiels, soit exactement ce dont il a voulu se dĂ©livrer en mettant un terme Ă  votre union. Pour se remettre avec son ex, c’est le mĂȘme processus que pour sĂ©duire n’importe quel candidat Ă  l’amour on se prĂ©sente sous son meilleur jour, on fait envie Ă  l’autre par notre charisme, notre aura. Et pour parvenir Ă  cela, il faut ĂȘtre en paix avec soi-mĂȘme et disposĂ© Ă  assumer sa nature profonde. Il n’y a qu’en Ă©tant vrai, mĂȘme si c’est une rĂ©alitĂ© lĂ©gĂšrement arrangĂ©e, que l’on peut espĂ©rer construire une relation saine et susceptible de se dĂ©velopper dans le bon sens avec le il faut que vous vous retrouviez, que vous vous adonniez Ă  tout ce qui vous fait du bien, que vous sachiez identifier ce qui est source de joie et de bonheur en dehors de la vie de couple. PlutĂŽt que de reconquĂ©rir son ex, il faut d’abord reconquĂ©rir sa libertĂ©. C’est le moment de sortir, de voir du monde, de vous remettre au sport, de laisser libre cours Ă  une passion, bref de faire tout ce que vous aimiez et que vous avez mis de cĂŽtĂ© pour privilĂ©gier votre vie pourrait vous paraĂźtre futile, mais c’est essentiel pour trois raisons votre moral en sera meilleurle temps vous semblera moins longvous irradierez Ă  nouveau de cette lumiĂšre qui a certainement contribuĂ© Ă  dĂ©clencher des sentiments chez votre ex au 5 Peut-on rĂ©cupĂ©rer son ex plus vite avec des techniques spĂ©cifiques ? Oui et non
Tout ce processus psychologique fondamental dont je viens de vous parler, je vous recommande trĂšs fortement de le faire durant la pĂ©riode de Silence Radio qui, si vous nous lisez depuis un certain temps, reste l’étape indispensable pour reconquĂ©rir son ex rapidement. Lorsque vous observez le “no contact” de façon stricte, vous occupez les pensĂ©es de votre ex, apaisez les Ă©ventuelles tensions et jugulez les disputes. AccompagnĂ© de la stratĂ©gie imparable de ce que j’appelle le “SMS magique”, vous pourrez, quand vous serez prĂȘt Ă  sortir du silence, recommencer Ă  nouer d’emblĂ©e des liens par une communication saine, base de votre vie amoureuse par contre, vous vous sentez trĂšs pressĂ© de rĂ©cupĂ©rer votre ex et que vous envisagez de passer Ă  l’action sans rĂ©flĂ©chir, tout ce que vous rĂ©ussirez Ă  rĂ©colter, c’est de la perte de temps. Vous en doutez ? Laissez-moi vous expliquer ce qui pourrait se passer
Prenons, par exemple, la vieille ficelle qui consiste Ă  essayer de rendre votre ex jaloux. Je ne dis pas que ça ne marchera pas, votre ex reviendra peut-ĂȘtre en courant dans vos bras, de peur de regretter de vous laisser partir pour de bon avec un autre. Mais dans l’hypothĂšse oĂč vous vous remettez immĂ©diatement ensemble, qu’avez-vous rĂ©glĂ© de votre crise de couple ? Combien de temps faudra-t-il avant une nouvelle explosion ? À quel moment aurez-vous eu, l’un comme l’autre, le temps de vous remettre en question et de digĂ©rer vos erreurs passĂ©es ? Il en va de mĂȘme si vous ĂȘtes tentĂ© de penser que coucher avec son ex est le meilleur moyen de le convaincre de revenir. Dans l’absolu, ça peut fonctionner, mais c’est une solution de court terme qui ne se suffit pas Ă  elle-mĂȘme, vous comprenez ?Les secrets des couples qui durent ne rĂ©sident jamais dans l’usage des leviers de satisfaction immĂ©diate. Dans tous les cas de ruptures, toutes les circonstances qui y ont jouĂ© un rĂŽle, toutes les configurations familiales, tous les types de durĂ©e que l’union a tenus, ne pas analyser le cours de son histoire amoureuse vous condamne Ă  rĂ©pĂ©ter les mĂȘmes schĂ©mas et Ă  revivre les mĂȘmes Ă©checs. Et cette nĂ©cessitĂ© va bien au-delĂ  que l’idĂ©e de reformer un couple avec votre ex, on parle ici de toute votre vie amoureuse future. Voyez-vous le bĂ©nĂ©fice de prendre quelques jours / semaines / mois et parfois mĂȘme, annĂ©es pour devenir la meilleure version de vous-mĂȘme et passer le reste de votre vie plus Ă©panoui ? C’est seulement comme ça que vous gagnerez du temps dans votre Ă©volution personnelle et amoureuse, alors ne choisissez pas les mesures d’urgence, cherchez les rĂ©flexions aussi Comment rĂ©cupĂ©rer un ex qui ne croit plus en nous ? 6 Les hommes reviennent plus vite que les femmesAu bout de combien de temps un homme revient ? Je vais vous donner la mĂȘme rĂ©ponse qu’en dĂ©but d’article il n’y a pas de rĂšgle. Par contre, les statistiques de l’INSEE dont je parlais plus haut rĂ©pondent Ă  une question analogue. Les hommes reviennent au bout de combien de temps en couple aprĂšs une rupture amoureuse ? La rĂ©ponse est plus rapidement que les femmes. Eh oui, c’est une sorte d’injustice qui dĂ©coule pourtant d’un constat et invite Ă  explorer plusieurs explications tout en gardant en tĂȘte que l’étude ne parle pas de la pĂ©rennitĂ© du couple suivant.Tout d’abord, il y a cette rĂ©alitĂ© tout Ă  fait factuelle qui rĂ©side dans le fait que ces messieurs ont moins souvent d’enfants Ă  charge, et donc plus de temps Ă  consacrer Ă  la recherche et au dĂ©veloppement d’une nouvelle histoire d’amour. Il y a ensuite cette libido plus prononcĂ©e qui pousse les hommes Ă  rechercher activement un partenaire maintenant vers la dimension psychologique et plus particuliĂšrement vers les travaux du psychologue clinicien Alon Gratch. Dans son livre Si les hommes pouvaient parler
 Les sept clĂ©s de la psychologie masculine Payot, 2017, il explique que le mutisme des hommes provient de plusieurs facteurs et parmi eux, la honte de l’échec, de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur, etc. et le sentiment d’insĂ©curitĂ©. Et comme vous le savez dĂ©jĂ  puisque c’est expliquĂ© plus haut, le cerveau humain n’aime pas les situations de stress et d’inconfort physique et Ă©motionnel, alors il s’efforce de trouver une voie facile vers un retour Ă  l’ enfin ce qui se passe du cĂŽtĂ© des femmes. Ce qu’il est trĂšs intĂ©ressant de noter, c’est que selon cette Ă©tude de la sociologue Catherine Kohler Riessman intitulĂ©e Divorce talk Women and men make sense of personal relationships, les femmes ressortent plus souvent grandies de leur rupture que les hommes et pensent avoir acquis dans cette Ă©preuve une meilleure connaissance d’elles-mĂȘmes. Si vous voulez mon avis, ce sont les femmes qui sont, du coup, les plus avantagĂ©es finalement, et vous voyez bien que pourtant, le temps joue contre elles !Lire aussi Nos conseils infaillibles pour reconquĂ©rir une 7 Il n’y a pas de limite qui indique combien de temps attendre son ex avant d’abandonnerPrendre son mal en patience et donner du temps au temps, ça ne veut pas non plus dire qu’il ne faut pas se fixer de limite. En effet, il se peut que votre ex soit dĂ©jĂ  passĂ© Ă  autre chose et qu’il n’envisage absolument par de reprendre une histoire d’amour avec vous. Dans ce cas-lĂ , combien de temps est-il raisonnable d’espĂ©rer que son ex revienne ? Encore une fois, il est impossible de donner une rĂ©ponse prĂ©cise Ă  cette question. Si vous avez bien appliquĂ© nos conseils et que le texto magique et le fait de couper les ponts avec le Silence Radio n’ont rien donnĂ©, peut-ĂȘtre avez-vous besoin de jouer cartes sur table avec votre ancien amour ? Si rĂ©ellement vous avez fait tout ce qui Ă©tait en votre pouvoir et que les perches tendues n’ont pas Ă©tĂ© saisies, il ne vous reste plus que deux choix tourner la page dĂ©finitivement et vous donner une chance de retomber amoureux ;demander clairement Ă  votre ex sa position quant Ă  l’avenir de votre mĂȘme, si vous ĂȘtes en contact rĂ©gulier avec votre ex, mais que vous avez l’impression de faire du sur-place tous les deux depuis des semaines, voire des mois, autant arrĂȘter les frais et provoquer la discussion sans dĂ©tour “penses-tu envisageable qu’on se remette un jour ensemble ou non” ? En fait, c’est Ă  vous de jauger si la situation Ă©volue dans le bon sens et Ă  un rythme que vous pouvez supporter. Un ex qui se laisse dĂ©sirer peut tout Ă  fait prendre goĂ»t Ă  la situation et l’entretenir volontairement. Un bon Ă©lectrochoc vous aidera trĂšs certainement Ă  dĂ©bloquer la situation, dans un sens ou dans l’autre
Bien sĂ»r, cela demandera du courage, mais la bonne nouvelle, c’est que si vous avez commencĂ© Ă  vous reconstruire, vous serez d’autant plus Ă  mĂȘme d’affronter la situation la tĂȘte haute !Il est normal de s’inquiĂ©ter de savoir au bout de combien de temps on peut rĂ©cupĂ©rer son ex, mais il faut rĂ©ussir Ă  se dĂ©faire de ce questionnement au plus vite pour puiser en soi les ressources et les rĂ©ponses pour comprendre ce qui est arrivĂ© Ă  son couple. Ce n’est qu’à ce prix que l’on pourra Ă  nouveau avancer dans sa vie amoureuse et c’est aussi comme ça qu’on dĂ©couvrira que, comme le disait l’écrivain Paul Morand, membre de l’AcadĂ©mie française “Le temps ne respecte pas ce qui se fait sans lui”.Lire aussi Comment rĂ©cupĂ©rer une ex qui n’a plus de sentiments ?Antoine Peytavin Avant de partir, que diriez-vous de connaĂźtre vos chances de reconquĂ©rir votre ex ? Le rĂ©sultat de ce quiz vous permet enfin de savoir par oĂč commencer dans votre reconquĂȘte. Obtenez votre rĂ©sultat en un temps record grĂące Ă  ce test Ă©laborĂ© par notre Ă©quipe d’experts.
ProcĂ©duredu traitement de roqya assistĂ© par le kashf (dĂ©voilement) ; Les propriĂ©tĂ©s de la chirurgie quantique pour guĂ©rir toute sorte de maladie incurable avec la permission d’Allah. Les techniques de la chirurgie quantique (diabĂšte, sciatique, arthrose, tuberculose, hypertension, folie). Atteindre les sources des symptĂŽmes mystiques.
Le djinn amoureux est un dĂ©mon qui prend le corps de son ĂȘtre aimĂ© comme refuge avec toute discrĂ©tion. Ce djinn est amoureux de sa victime. Son amour le pousse Ă  vouloir contrĂŽler la vie de son hĂŽte jusqu’à la possĂ©der. C’est une forme d’amour toxique qui se base sur le mal. Depuis le cƓur de son hĂŽte, il se raccorde au cerveau Ă©motionnel pour une emprise parfaite de sa victime. Ce dĂ©mon souffle la colĂšre, tristesse ou la peur pour affaiblir psychologiquement l’ĂȘtre aimĂ©. Diagnostic djinn amoureux, cliquez sur l’image voire les vidĂ©os. Plus il reste dans le corps du malade et plus il a de l’emprise sur lui. Une emprise sur son corps, sa tĂȘte et sa vie. On trouve ce type de djinn chez une personne cĂ©libataire, mariĂ©e ou mĂȘme un enfant. Il essaie toujours de se cacher et de ne pas ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©. C’est pour cela qu’il est rare qu’il quitte le corps de son hĂŽte et lui fait toujours du Waswas pour la dĂ©motiver et la bloquer contre tous types de traitements ou la rokia charia. Il essaie aussi d’éloigner sa victime de toutes personnes qui peut l’aider ou la traiter. Contactez-nous pour vous aider Plusieurs personnes qui nous contactent pour se dĂ©barrasser de leur djinn amoureux se retrouvent bloquĂ©s pour un deuxiĂšme contact. Cela est dĂ» Ă  l’emprise avancĂ©e de ce dernier sur eux. Un conseil ne vous laisser jamais vaincu par ce dĂ©mon sinon il peut ĂȘtre une cause d’une vie triste. DiffĂ©rence entre un djinn amoureux et un djinn d’une sorcellerie Le serviteur d’une sorcellerie entre dans le corps du patient avec la venue de la sorcellerie. Il prend place pour servir la sorcellerie, la garder et faire du Waswas, il sort automatiquement Ă  la destruction de sorcellerie. En effet son objectif c’est d’accomplir l’objectif de la sorcellerie et dans des cas il est enchaĂźnĂ© avec. Mais en ce qui concerne le djinn amoureux, il prend place dans le corps de sa victime avec sa propre volontĂ© de possĂ©der le corps du malade. MĂȘme si sa victime possĂšde une sorcellerie, le djinn amoureux va utiliser cette derniĂšre comme source de pouvoir qui va le renforcer Ă  rester dans le corps et d’avoir une emprise totale avec le temps. Les types de sorcelleries qui renforcent le djinn amoureux Il est possible Ă  ce type de Djinn de se lier Ă  plus d’une seule sorcellerie. Voici une liste des diffĂ©rents types de sorcelleries qui l’intĂ©resse parce qu’elles servent son intĂ©rĂȘt Sorcellerie blocage blocage de la division ou du de l’ de la de la de protection de la virginitĂ©. Et gĂ©nĂ©ralement le djinn amoureux se lie aux sorcelleries sales qui sont adorĂ©es par les dĂ©mons comme Sorcellerie faite avec du faite avec des saletĂ©s urine, excrĂ©ments
.Sorcellerie avec des organes d’animaux intestins, organes, onglets de chat
.Sorcellerie dans un mort. Les endroits oĂč le djinn amoureux s’installe dans le corps Le djinn amoureux s’installe gĂ©nĂ©ralement au cĂŽtĂ© gauche du corps, par exemple dans la jambe gauche ou la main gauche, les parties intimes ou le cƓur de son hĂŽte. GĂ©nĂ©ralement ce sont des endroits proches du Qarin pour qu’il s’impose avec le Waswas. Causes de la prĂ©sence du djinn amoureux Plusieurs causes diffĂ©rentes pour expliquer la prĂ©sence du djinn amoureux dans le corps, nous allons citer les plus importantes La sorcellerie sorcellerie blocage mariage, sorcellerie blocage enfantement, sorcellerie de la division et du divorce, sorcellerie de la fornication, sorcellerie de l’amour, sorcellerie de l’impuissance
.La sorcellerie mangĂ©e avec le sang des rĂšgles ou avec du maladies solitude et le vide les Ulms adultes en pratique de la fornication, le mauvais Ɠil et la jalousie qui bloque le mariage, l’enfantement
Se regarder beaucoup dans le pleurer ou danser dans les nuditĂ© dans les toilettes sans faire les sorcellerie de la des protections et des talismansLa sorcellerie dans la pactes avec les dĂ©mons. Les problĂšmes induits par les djinns amoureux Dans tous les cas, le djinn a besoin d’une source d’énergie qui le renforce et qui lui donne des pouvoirs d’emprise sur sa victime comme contrĂŽler sa vie. Parmi ces sources il y a la sorcellerie, les maladies psychologiques, le mauvais Ɠil, les pĂ©chĂ©s et le manque de foi. Voici une liste des problĂšmes causĂ©s par ce type de djinn dans la vie de sa victime Beaucoup de de dans le les couples qui comptent se le mariage, le travail et la les la famille, les amis et le de pousser le malade Ă  pratiquer la pour sa victime d’avancer dans la l’enfantement, destruction de dans la relation du sa victime a ne connaitre que des personnes mauvaise dans sa PensĂ©es nĂ©gatives, les pensĂ©es oublie et et mauvaise prise de dĂ©cision. Quel est la personne qui peut vaincre le Djinn amoureux ? La victime ou le malade est la personne la plus apte Ă  dĂ©truire le djinn amoureux avec la permission de ce type de djinn pense et rĂ©pĂšte que la personne qu’il aime l’appartient. Il est convaincu que la femme qu’il domine est son Ă©pouse et essaie d’éloigner tous les hommes sur son chemin. Il essaie de possĂ©der le corps et l’esprit du malade et essaie aussi de contrĂŽler sa vie. C’est une entitĂ© qui vit dans un mensonge continue, il pense que sa victime aime sa prĂ©sence dans sa vie et ne le dĂ©teste pour cela que dans des cas on trouve que le djinn amoureux se venge du malade, le blesse et le punit lors de son Ă©coute Ă  la roqya ou quand il se traite avec des moyens qui le dĂ©rangent. Dans d’autres cas, on trouve que le djinn amoureux croit que le malade ne le combat pas exprĂšs, mais qu’il se traite sous la pression de sa famille ou du raki, il ne va pas penser que le malade veut se dĂ©barrasser de lui et c’est rare qu’il soit convaincu que le malade cherche Ă  le la plupart des cas, le djinn amoureux fait la sorcellerie a sa victime sorcellerie des djinns ce qui rĂ©sulte des nƓuds au niveau du cƓur, provoque beaucoup de Waswas et le souffle dĂ©moniaque. L’objectif de ses sorcelleries c’est la soumission totale de la se basant sur ce point on peut comprendre que, plus la foi du malade augmente, plus il est convaincu que le dĂ©mon est faible, plus il persĂ©vĂšre dans son traitement contre le djinn amoureux avec conviction et confiance absolue en Dieu. Cela accĂ©lĂšre le processus de destruction de ce dĂ©mon et les rĂ©sultats sont forts. Plus la foi et le cƓur sont faible, et plus cela donne de la force au djinn amoureux pour avoir une emprise sur sa victime. Notre aide et services N’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter si vous soufrer de djinn amoureux, avec la permission de Dieu nous pouvons vous aider dans le diagnostic et le traitement. jepose une question ou la rĂ©ponse peut-ĂȘtre complexe, mais voilĂ  je suis tombĂ© sur un article qui parlait d'une
Que puis-je dire ? Je ne peux que me soumettre Ă  cette analyse mais voilĂ , il me faut admettre que le libre arbitre de l’homme est donc tout-Ă -fait relatif. Du coup il me faut donc admettre que la prĂ©destination prĂ©vaut et commande nos actes. » C’est le post d’un ami 1 qu’il m’a envoyĂ©, il y a quelques jours, qui, aprĂšs avoir lu un article 2 paru sur le Quotidien d’Oran, le jeudi 16 aoĂ»t 2018, s’est interrogĂ© sur le fonctionnement de l’histoire. Il est vrai que le libre arbitre de l’homme est tout-Ă -fait relatif. En effet, on remarque que les actes paraissent toujours dĂ©terminĂ©s lorsqu’on les considĂšre aprĂšs l’exĂ©cution, lorsqu’ils font partie du passĂ©. Mais lorsqu’on les considĂšre dans leur dĂ©veloppement mĂȘme, surtout si on essaie de dĂ©duire avant les Ă©vĂ©nements Ă  venir, on s’aperçoit que ce ne sont que des projections hypothĂ©tiques que nous pouvons mener mais sans jamais s’assurer de leur rĂ©alisation. En clair, l’homme ne peut que conjecturer. H. Bergson appelle libertĂ©, le rapport du moi concret Ă  l’acte libre qu’il accomplit. » Mais qu’est-ce que le moi ? Sinon tout ce qui fait l’existence dans le temps. Une libertĂ©, une causalitĂ© qui est toujours au prĂ©sent lorsqu’il est. Mais ce moi demeure indĂ©finissable, on a beau le cerner ce je », il demeure qu’il y a beaucoup d’inconnu en lui. C. G. Jung appelle l’ ombre » qui personnifie pour le sujet le cĂŽtĂ© inconnu, inquiĂ©tant, de lui-mĂȘme, comme un ĂȘtre Ă  la fois Ă©tranger et apparentĂ© ». Mais ces ombres noires, sinistres relĂšvent de l’existence. Dans le quotidien, l’homme n’est pas toujours objectif, pris par son Ă©goĂŻsme, souvent cette pensĂ©e qui pense en lui pense qu’au fond il n’est pas Ă©goĂŻste. C’est simplement sa nature qui est ainsi. Bon quand il est dĂ©gagĂ©, mauvais quand le cĂŽtĂ© nĂ©gatif de sa nature prend le dessus. Celui qui fait du mal sent-il qu’il fait du mal ? Aussi, comment nous connaĂźtre ? Comment prendre prise sur soi, sur notre existant ? Comprendre nos joies, nos angoisses et apprendre Ă  les maĂźtriser ? Et c’est important pour notre sĂ©rĂ©nitĂ© intĂ©rieure, pour lutter contre les projections des autres, contre nos propres problĂšmes refoulĂ©s de l’existence qui remontent Ă  la surface et prennent le pas sur nous. Combien mĂȘme on est serein, ou paraissant l’ĂȘtre, intĂ©rieurement on ne l’est pas et on ne le montre pas. Comment faire pour comprendre ce mal-pensĂ© ? Qui, au fond, quoique l’on dise, est naturel puisqu’il prend en nous, et nous ne pouvions le plus souvent lutter contre. Nous sommes simplement ce que nous sommes, et le monde est ainsi fait. Un aspect important est de penser que l’homme n’a pas de libertĂ© rĂ©elle, au sens propre du mot, puisque le libre arbitre lui est donnĂ© par l’Essence. On n’a pas le choix pour dĂ©finir l’homme autrement que par l’Essence. Il n’est pas homme de lui-mĂȘme, il a Ă©tĂ© créé homme. Et cette vĂ©ritĂ© est trĂšs importante parce que si on ne la met pas en avant, en tant qu’elle le dĂ©finit, l’homme restera toujours un ĂȘtre indĂ©finissable. On Ă©piloguera longtemps sur le je » et le moi, mais nous n’arriverons pas au cƓur du problĂšme de l’homme. DĂšs lors le seul lien tangible qui peut nous exprimer est notre libre arbitre dans notre essence d’ĂȘtre. Il joue un rĂŽle cardinal dans notre existence. Dans un essai sur le libre arbitre, Arthur Schopenhauer enseigne que l’hypothĂšse du libre arbitre doit ĂȘtre absolument Ă©cartĂ©e, et que toutes les actions des hommes sont soumises Ă  la nĂ©cessitĂ© la plus inflexible, nous l’avons par lĂ  mĂȘme conduit au point oĂč il peut concevoir la vĂ©ritable libertĂ© morale, qui appartient Ă  un ordre d’idĂ©es supĂ©rieur. Il existe, en effet, une autre vĂ©ritĂ© de fait attestĂ©e par la conscience, que j’ai complĂštement laissĂ©e de cĂŽtĂ© jusqu’ici pour ne pas interrompre le cours de notre Ă©tude. Cette vĂ©ritĂ© consiste dans le sentiment parfaitement clair et sĂ»r de notre responsabilitĂ© morale, de l’imputabilitĂ© de nos actes Ă  nous-mĂȘmes, sentiment qui repose sur cette conviction inĂ©branlable, que nous sommes nous-mĂȘmes les auteurs de nos actions. GrĂące Ă  cette conviction intime, il ne vient Ă  l’esprit de personne, pas mĂȘme de celui qui est pleinement persuadĂ© de la nĂ©cessitĂ© de l’enchaĂźnement causal de nos actes, d’allĂ©guer cette nĂ©cessitĂ© pour se disculper de quelque Ă©cart, et de rejeter sa propre faute de lui-mĂȘme sur les motifs, bien qu’il soit Ă©tabli que par leur entrĂ©e en jeu l’action dĂ»t se produire d’une façon inĂ©vitable. Car il reconnaĂźt trĂšs bien que cette nĂ©cessitĂ© est soumise Ă  une condition subjective, et qu’objectivement, c’est- Ă -dire dans les circonstances prĂ©sentes, par suite sous l’influence des mĂȘmes motifs qui l’ont dĂ©terminĂ©, une action toute diffĂ©rente, voire mĂȘme directement opposĂ©e Ă  celle qu’il a faite, Ă©tait parfaitement possible, et aurait pu ĂȘtre accomplie, pourvu toutefois qu’il eĂ»t Ă©tĂ© un autre c’est de cela seulement qu’il s’en est fallu. Pour lui-mĂȘme, parce qu’il est tel et non tel, parce qu’il a tel caractĂšre et non tel autre, une action diffĂ©rente n’était Ă  la vĂ©ritĂ© pas possible ; mais en elle-mĂȘme et par suite objectivement, elle Ă©tait rĂ©alisable. Sa responsabilitĂ©, que la conscience lui atteste, ne se rapporte donc Ă  l’acte mĂȘme que mĂ©diatement et en apparence au fond, c’est sur son caractĂšre qu’elle retombe ; c’est de son caractĂšre qu’il se sent responsable. » 3 Ce qu’énonce Arthur Schopenhauer est assurĂ©ment une vĂ©ritĂ©. Tout homme est responsable de ses actes, mĂȘme si pour lui, subjectivement il dit que son libre arbitre n’est pas engagĂ©, que le choix dans son action relevait de son caractĂšre dont il n’est pas responsable. Cet homme est conçu ainsi, en clair cela relĂšve de ce qu’il est, donc nĂ©cessairement ce qu’il est par son essence. Schopenhauer poursuit son analyse Et c’est aussi de celui-lĂ  seul que les autres hommes le rendent responsable, car les jugements qu’ils portent sur sa conduite rejaillissent aussitĂŽt des actes sur la nature morale de leur auteur. Ne dit-on pas, en prĂ©sence d’une action blĂąmable VoilĂ  un mĂ©chant homme, un scĂ©lĂ©rat, » ou bien C’est un coquin ! » – ou bien Quelle Ăąme mesquine, hypocrite, et vile ! » – C’est sous cette forme que s’énoncent nos apprĂ©ciations, et c’est sur le caractĂšre mĂȘme que portent tous nos reproches. » 3 Allons plus loin dans le raisonnement sur l’essence de l’homme. Qu’est-ce qui diffĂ©rentie un mĂ©chant homme d’un scĂ©lĂ©rat ? Ou simplement un honnĂȘte homme d’un malhonnĂȘte homme ? Nous devons d’abord considĂ©rer ce qui meut l’honnĂȘte homme et le malhonnĂȘte homme, sur le plan de l’essence ? Il est Ă©vident que ce sont leurs pensĂ©es respectives de ce qu’ils font de leur libertĂ© dans leur existence ou leur libre arbitre qui vont rĂ©gir leurs actions. Car, dans le fond, le libre arbitre comme leurs pensĂ©es qui se diffĂ©rentient, chaque homme a sa propre pensĂ©e – on parle ici du contenu de sa pensĂ©e et non la pensĂ©e elle-mĂȘme qui n’est que le vĂ©hicule du vouloir de l’ĂȘtre. Donc de par son libre choix de faire, d’agir, qui est donnĂ© Ă  l’homme par une essence dont il ne sait rien. Qu’E. Kant appelle une causalitĂ© puisqu’elle est celle qui cause tout ». Quels que soient les hommes, ils ne pensent que par leurs tendances dans l’existence, ils pensent donc et agissent de par ce qu’ils sont fonciĂšrement. Pour avoir une idĂ©e de la pensĂ©e au travers de laquelle l’homme tire son libre arbitre, il faut d’abord dĂ©finir l’homme intĂ©rieur avec son monde extĂ©rieur. Supposons qu’il n’a pas les cinq sens sensoriels, que serait-il l’homme ? Il ne serait rien. Il n’entend pas, il ne voit pas, il ne sent pas. DĂšs lors mĂȘme qu’il a une pensĂ©e, sa pensĂ©e lui est inutile. Il ne peut penser ce qu’il ne voit pas, ce qu’il n’entend pas, ce qu’il ne sait pas. En clair, il existe sans exister. Ou simplement pourquoi il existe seulement pour exister alors qu’il n’a aucune prise ni sur lui-mĂȘme ni sur le monde extĂ©rieur. Le monde qui l’entoure aurait-il un sens ? Le monde animal, chat, tigre, lion, etc., ou le monde vĂ©gĂ©tal, arbres, fleurs, herbes, etc., ou simplement la nature qui l’entoure, le jour avec le soleil, la nuit avec ou sans lune. Et tant de choses du monde extĂ©rieur. Le monde extĂ©rieur aurait-il un sens ? A quoi servirait-il ? Pourquoi existerait-il ? S’il n’y a pas l’homme qui tĂ©moigne de son existence. Le sourd muet aveugle qui a le sens du toucher a besoin des hommes et du milieu dans lequel il est pour prendre conscience de son existence. On comprend dĂšs lors pour que le monde existe, il a besoin de l’homme. Du moins, cette affirmation vient de la logique de sa raison. Évidemment, le monde peut exister sans l’homme si la CrĂ©ation l’a voulu ainsi. Mais se poserait toujours la question sur la finalitĂ© de la CrĂ©ation qui aurait existĂ© Ă  l’infini sans l’homme. Bien entendu, Ă  cette question l’homme n’a pas de rĂ©ponse. L’homme ne peut savoir l’absolu de l’Essence, Dieu. Il n’est pas fait » pour savoir l’Essence par lequel il est. Tout au plus le sentirait-il cette Essence qu’elle existe en lui, et l’homme lui doit sa pensĂ©e en terme de vĂ©hicule et de contenu et ses cinq sens sensoriels qui communiquent leur contenu Ă  sa pensĂ©e qui les traduit pour lui. N’est-ce pas un processus existential par lequel l’homme existe et dont il ne sait rien. Et mĂȘme les sens sensoriels dont il est dotĂ© sont limitĂ©s, ils ne lui disent pas tout. Ses yeux, sa vision, ne sont qu’une merveilleuse machine », un merveilleux organe biologique optique ». Il ne voit par eux que les frĂ©quences autorisĂ©es, les frĂ©quences visuelles octroyĂ©es Ă  l’homme. Il ne voit pas l’infiniment petit. Pour cela il a besoin d’un microscope optique, ou d’un microscope Ă©lectronique qui fait grossir plus de 100 000 fois l’objet qu’il examine. Et encore cet examen optique est limitĂ©, il ne voit pas l’infiniment petit qui n’a pas de limite. De mĂȘme, il ne voit pas l’infiniment grand. Il ne peut voir ce qui se passe, par exemple, sur la planĂšte Mars, ou sur une autre planĂšte lointaine. Tout au plus il spĂ©cule sur des photographies de ces planĂštes prises au moyen de tĂ©lescope dont il pousse l’agrandissement Ă  l’extrĂȘme, et pourtant ce paradoxe si on peut appeler cette limitation paradoxe, ces moyens techniques que sa pensĂ©e lui construit ne lui fait voir que ce qu’il lui est autorisĂ© de voir par l’Essence. D’autant plus que si on fait le compte, les yeux, instrument optique biologique, le microscope optique et Ă©lectronique et les tĂ©lescopes les plus perfectionnĂ©s qui sont le produit de son intelligence vĂ©hiculĂ©e par sa pensĂ©e, ne lui appartiennent pas en propre, dans le sens de l’ absolu ». Certes, dotĂ© de sens et de pensĂ©e, l’homme a produit mais lui aussi est le produit » de quelque Force Infinie crĂ©atrice de l’Univers. Et souvent l’homme ne s’aperçoit pas qu’il est un miracle » de la CrĂ©ation et dans la CrĂ©ation. Pourquoi ? Parce qu’il a cette capacitĂ© unique du moins jusqu’à ce stade de la connaissance de l’histoire de penser l’univers ». Seul Ă  le penser, ce qui implique que l’homme n’existe pas seulement pour exister, et malgrĂ© ses facultĂ©s limitĂ©es », et qui lui permettent de les augmenter », il a aussi Ă  marquer de son empreinte le monde. Une destinĂ©e en quelle que sorte ? Un monde qu’il met Ă  son niveau, qu’il y construit selon sa raison. DĂšs lors, n’est-ce pas que ce qu’il fait entre dans sa destinĂ©e d’exister dans ce monde, et qu’il existe une dĂ©pendance entre lui et ce monde. Un monde dont il dĂ©pend sur tout alors que le monde qui lui est extĂ©rieur ne dĂ©pend pas de lui. Tout au plus il est dans un certain sens le miroir » du monde extĂ©rieur puisqu’il tĂ©moigne de son existence. Le monde n’a d’existence que par l’homme, et l’homme n’a d’existence que par le monde. Deux mondes qui ne font qu’un seul, un miroir de l’un et de l’autre dans un seul miroir. Allons dans la diversitĂ© des hommes. Les hommes qui ont tous une nature humaine identique par la facultĂ© de la pensĂ©e qui leur permette de penser, par leurs sens sensoriels, sont-ils un ? Ne sont-ils pas diffĂ©rents les uns des autres ? Par la couleur, la race, la religion, le caractĂšre, la gĂ©ographie et autres attributs, ils sont donc autre les uns des autres. C’est une loi de la Nature, de la CrĂ©ation. S’ils ont tous la facultĂ© de penser, cela ne signifie pas qu’ils pensent tous de la mĂȘme façon. Cela doit ĂȘtre ainsi. Il existe certes entre eux des ressemblances, des affinitĂ©s, de l’affection, de l’amour, de la suspicion aussi, de la haine, de la peur de l’autre, et tant de sentiments complexes et souvent indĂ©finissables, et ceci dans toute sociĂ©tĂ© humaine. Qu’en est-il de ces diffĂ©renciations qui sont dĂ©terminĂ©es essentiellement par leurs pensĂ©es au travers desquelles toutes leurs facultĂ©s interagissent ? Les hommes ne prĂ©nomment-il pas souvent l’ensemble de leur ĂȘtre immatĂ©riel, leurs pensĂ©es et les facultĂ©s de la pensĂ©e, par Ăąme ». Cependant une Ăąme n’a de sens que si une pensĂ©e vit en elle, pense en elle et pour elle. Donc, au-delĂ  de l’ñme, il y a toujours la pensĂ©e, et c’est elle qui est l’essence de l’ñme. Que ce soit la conscience, la volontĂ©, l’intelligence, la raison qui dĂ©termine l’action, l’imagination, le sentiment, la passion, l’ambition, l’intelligence, etc., toutes ces facultĂ©s humaines et tout ce qui dĂ©rive de ces facultĂ©s dĂ©rivent de la pensĂ©e. On est conscient d’une situation difficile, on ne peut le faire que par la pensĂ©e. On veut faire quelque chose, on ne peut le faire que par la pensĂ©e, de mĂȘme rĂ©soudre un problĂšme par l’intelligence ne se fait que par la pensĂ©e, on est attirĂ© par quelqu’un, qu’on l’aime ou qu’on le haĂŻsse, on ne le fait que par la pensĂ©e que l’on a de lui et rĂ©ciproquement. Faire le bien et Ă©viter le mal ou le contraire ne peut se faire que par la pensĂ©e, et encore il faut situer les tendances pour chaque ĂȘtre. » Cependant, la pensĂ©e et les cinq sens sensoriels qui nous ouvrent le monde obĂ©issent Ă  un principe de causalitĂ©, dont nous ne connaissons ni ne pouvons connaĂźtre la Cause initiale, parce que nous sommes créés » par la Cause ultime », la Cause originelle ». Tout ĂȘtre créé, en particulier l’ĂȘtre humain qui est au-dessus de tout parce qu’il dispose de sa pensĂ©e pensante peut-il savoir la Cause absolue de l’univers » ? Il est Ă©vident que non. L’univers, les forces de la nature sont dĂ©jĂ  bien mystĂ©rieux pour l’homme, dĂšs lors comment peut-il connaĂźtre sa cause alors que son ĂȘtre relĂšve de l’Instance suprĂȘme, Dieu ? » Par sa pensĂ©e dont il est le vĂ©hicule et dont il ne sait rien ? Par ses sens qui sont limitĂ©s et qui lui sont donnĂ©s. Et la pensĂ©e elle-mĂȘme, qui est le vĂ©hicule de ses passions, ses sentiments, ses ambitions, sa raison, et tant d’autres facultĂ©s ou sens qui font sa conscience, sa volontĂ© d’ĂȘtre, peut-elle penser sa cause ? Si la pensĂ©e pensait sa cause » qui l’a fait naĂźtre, l’homme l’aurait su. Mais la pensĂ©e pensante ne se pense pas, elle est pensĂ©e, donc soumise elle aussi Ă  un Principe supĂ©rieur. DĂšs lors le constat sur la situation de l’existence de l’homme fait ressortir en tant qu’ĂȘtre relevant d’une Cause ultime qu’il est forcĂ©ment prĂ©dĂ©terminĂ©. Que sa libertĂ©, et on entend par lĂ  le libre-arbitre de l’homme qu’ il est tout-Ă -fait relatif », comme l’a Ă©crit mon ami dans son post, et admettre que la prĂ©destination prĂ©vaut et commande nos actes », ne peut ĂȘtre que vraie. Il y a donc sa pensĂ©e qui Ă©mane d’une Force naturelle commune laquelle cause le tout au sein duquel l’humain est uni au monde. Cette Force est le principe de toute explication. Elle est elle-mĂȘme le substratum commun dans tout existant », Ă©nonce Schopenhauer. Jamais aucune cause au monde ne tire son effet entiĂšrement d’elle-mĂȘme, c’est-Ă -dire ne le crĂ©e ex nihilo. Il y a toujours une matiĂšre sur laquelle elle s’exerce, et elle ne fait qu’occasionner Ă  un moment, en un lieu, et sur un ĂȘtre donnĂ©, une modification qui est toujours conforme Ă  la nature de cet ĂȘtre, et dont la possibilitĂ© devait donc prĂ©exister en lui. Par consĂ©quent chaque effet est la rĂ©sultante de deux facteurs, un intĂ©rieur et un extĂ©rieur l’énergie naturelle et originelle de la matiĂšre sur laquelle agit la force en question, et la cause dĂ©terminante, qui oblige cette Ă©nergie Ă  se rĂ©aliser, en passant de la puissance Ă  l’acte. Cette Ă©nergie primitive est prĂ©supposĂ©e par toute idĂ©e de causalitĂ© et par toute explication qui s’y rapporte ; aussi une explication de ce genre, quelle qu’elle soit, n’explique jamais tout, mais laisse toujours en derniĂšre analyse quelque chose d’inexplicable. C’est ce que nous constatons Ă  chaque instant dans la physique et la chimie. L’explication des phĂ©nomĂšnes, c’est-Ă -dire des effets, ainsi que les raisonnements qui ramĂšnent ces phĂ©nomĂšnes Ă  leur source derniĂšre, prĂ©supposent toujours l’existence de certaines forces naturelles. Une force naturelle considĂ©rĂ©e en elle-mĂȘme n’est soumise Ă  aucune explication, mais elle est le principe de toute explication. De mĂȘme, elle n’est non plus soumise en elle-mĂȘme Ă  aucune causalitĂ©, mais elle est prĂ©cisĂ©ment ce qui donne Ă  chaque cause la causalitĂ©, c’est-Ă -dire la possibilitĂ© de produire son effet. Elle-mĂȘme est le substratum commun de tous les effets de cette espĂšce, et est prĂ©sente dans chacun d’eux. » 3 Par cet Ă©noncĂ©, on comprend pourquoi Schopenhauer ramĂšne tout Ă  la Cause ultime, qui n’a pas d’explication, et bien que l’homme qu’il interroge lui dise Je peux faire ce que je veux. Si je veux aller Ă  gauche, je vais Ă  gauche si je veux aller Ă  droite, je vais Ă  droite. Cela dĂ©pend uniquement de mon bon vouloir je suis donc libre », il le considĂšre comme non libre. Il nie le libre arbitre. En rĂ©alitĂ©, l’homme est libre et tout Ă  fait libre, sauf que dans l’ absolu », il ne l’est pas puisqu’il est dĂ©pendant » de ses facultĂ©s, des tendances caractĂ©rielles, des circonstances et d’un Ă©tat mental qu’il ne commande pas. Et ceux-ci lui dictent malgrĂ© lui son comportement. Par exemple touchĂ© par un malheur, l’homme peut se retrouver accablĂ©. Vu sous cet angle, l’homme forcĂ©ment n’est pas libre puisqu’il dĂ©pend Ă  la fois de son intĂ©rioritĂ© qui dicte sa rĂ©action et de l’extĂ©rioritĂ© qui l’accable dans le sens qu’elle peut le combler de bonheur, ou par des difficultĂ©s voire des maladies, des malheurs fortement l’éprouver dans l’existence ou simplement la monotonie, la routine quotidienne lui enlĂšve la sĂšve, la vitalitĂ© du sens de l’existence. Cependant, il doit assumer, et en assumant tout ce qu’il lui arrive, en bien ou en mal, il assume son existence. En clair, il peut ĂȘtre heureux comme il peut se trouver Ă  lutter contre le malheur soit en l’acceptant parce qu’il n’y a pas de possibilitĂ© pour le repousser, soit le refuser s’il pouvait s’en dĂ©faire. Une question cependant, dans la rĂ©alitĂ© du vĂ©cu quotidien de l’homme, est-il nĂ©cessaire de penser que l’homme n’a pas de libre arbitre d’autant qu’ il n’a point besoin de cette vĂ©ritĂ© absolue pour exister ? » Et l’absolu est du ressort de l’absolu. Or, l’homme existant ou l’ existant de l’homme » est du ressort de l’existence de tous les jours, minute par minute, seconde par seconde. En clair, il n’a point besoin de philosopher, ou de concept philosophique pour vivre, vivre en sĂ©curitĂ©, arriver Ă  gagner sa vie, Ă  assumer pleinement son existence. Et c’est cela qui compte pour l’homme quel qu’il soit, qu’il soit le plus Ă©clairĂ© des hommes ou le plus commun des hommes. Exister dans une vie dĂ©jĂ  complexe oĂč l’homme le plus souvent se trouve dĂ©passĂ© par les Ă©vĂ©nements de toutes sortes. Et par le plus Ă©lĂ©mentaire pour l’homme, et cela a rapport Ă  son existentiel immĂ©diat, il doit arriver Ă  manger, arriver Ă  dormir, en deux mots assurer son existence. Par consĂ©quent, la rĂ©ponse Ă  ce besoin de cette vĂ©ritĂ© absolue pour exister » est Ă©videmment qu’il n’en a pas besoin du tout. Aucunement. Et le philosophe français Victor Cousin que cite Schopenhauer. M. Cousin, qui mĂ©rite sous ce rapport une mention honorable, puisque dans son Cours d’Histoire de la Philosophie, professĂ© en 1819-1820, et publiĂ© par Vacherot, 1841, il enseigne que le libre arbitre est le fait le plus certain dont tĂ©moigne la conscience vol. I, p. 19, 20 ; et il blĂąme Kant de n’avoir dĂ©montrĂ© la libertĂ© que par la loi morale, et de l’avoir Ă©noncĂ©e comme un postulat, tandis qu’en vĂ©ritĂ© elle est un fait Pourquoi dĂ©montrer ce qu’il suffit de constater ? » Page 50. La libertĂ© est un fait, et non une croyance. » Ibid.. 3 Victor Cousin est surpris que l’on ne voie pas le libre arbitre comme un fait naturel. Et on ne peut que lui donner raison. Cependant, Ă  l’opposĂ©, ce qu’affirme Schopenhauer dans le non libre arbitre n’est pas aussi sans intĂ©rĂȘt dans la comprĂ©hension de l’homme, et par extension le monde humain. Aussi pensons-nous que nous arrivons aux conclusions des deux visions schopenhauerienne et cousinienne et affirmons que toutes deux ont leur utilitĂ© dans le vĂ©cu des hommes. Le lecteur pourra juger Ă  la lecture de ce qui suivra si cette assertion est juste ou fausse. Et permet-elle Ă  comprendre l’homme, cet inconnu » qui Ă  la fois se connaissant et ne se connaissant pas. Ou encore croyant se connaĂźtre mais ne se connaĂźt pas parce que son existence est souvent difficile et complexe, lui apparaissant souvent comme une Ă©preuve dans son connaissant. Ce qui signifie qu’il existe et combien mĂȘme il existe et a existĂ©, il peut passer Ă  cĂŽtĂ© de l’existence comme s’il n’a pas existĂ©. Une grande majoritĂ© des hommes se trouvent dans cette situation, parce qu’ils n’ont Ă©tĂ© que dans cette immĂ©diatetĂ© d’exister. Cependant cette majoritĂ© d’hommes, sont-ils responsables de leur situation ? Et qui peut attester qu’ils n’ont pas pensĂ© le sens profond de leur existence ? Il est certain que l’apparent qui se dĂ©gage de cette majoritĂ© n’est pas vĂ©ritĂ©. » Certes, l’éclairĂ© qui se dit Ă©clairĂ© ou pense ĂȘtre plus Ă©clairĂ© que la masse peut le penser que par sa pensĂ©e qui le lui fait penser, mais elle ne peut ĂȘtre vĂ©ritĂ© parce qu’elle n’est que sa propre vĂ©ritĂ©, et non la vĂ©ritĂ© de tous. » Ceci Ă©tant, revenons Ă  la vision schopenhauerienne et Ă  la vision cousinienne, elles ont toutes deux une grande utilitĂ©. Pourquoi ? Pour la premiĂšre, elle fait ressortir le destin d’un homme dans toute la profondeur de ce qui fait l’essence de son existence. Une vision qui montre combien l’homme est libre ou croit ĂȘtre libre, en rĂ©alitĂ©, il l’est mais toujours assujetti, dirigĂ© en permanence et c’est la raison pour laquelle Schopenhauer Ă©carte absolument le libre arbitre. Pour la seconde, le libre arbitre est vrai dans l’immĂ©diatetĂ© de l’existence. L’homme ne peut ĂȘtre un automate que l’on manipule d’en Haut sans qu’il n’y ait un sens Ă  cette manipulation. Non, il est rĂ©ellement libre mĂȘme s’il est rĂ©gi » » par le principe de causalitĂ©. Emmanuel Kant par son fameux triptyque, l’espace, le temps et le principe de causalitĂ© » n’élude en rien ce qu’on peut appeler le principe de l’immĂ©diatetĂ© pour l’homme d’exister. » Ce qui signifie que l’Essence de Dieu a rĂ©ellement octroyĂ© un libre arbitre Ă  l’homme, dans l’immĂ©diatetĂ© de son existant, qui ne relĂšve pas seulement du principe causal comme le comprend l’homme, mais relĂšve de lui-mĂȘme en tant qu’ĂȘtre, en tant qu’homme, en tant qu’essence provenant de l’Essence suprĂȘme, capable de penser sans savoir d’oĂč lui vient cette pensĂ©e, capable donc d’exister, de produire, en dehors de toute contrainte. Sauf que cette libertĂ© par ce lien avec son essence est relative parce qu’elle relĂšve toujours du Principe de causalitĂ© suprĂȘme, donc de la Cause absolue, Dieu. Pour la comprĂ©hension du libre arbitre et l’implication de la vision schopenhauerienne et cousinienne sur lui, il est intĂ©ressant de se reporter Ă  des faits humains rĂ©els, vĂ©cus ou simplement s’ils s’étaient rĂ©alisĂ©es, hypothĂ©tiquement parlant, donc autrement, qu’auraient Ă©tĂ© les consĂ©quences sur l’humanitĂ©. Pour cela, reportons-nous au post que mon estimĂ© ami Bensadek Mohammed m’avait envoyĂ©. Que m’écrit-il Pour ce qui concerne le Japon et les explosions atomiques, elles ne sont pas des rĂ©flexions ou un produit de ma pensĂ©e. Pour l’occupation du Japon, j’ai repris des dĂ©clarations des soviĂ©tiques - Ă  l’époque de l’URSS - qui ont soutenu cette opinion. Pour preuve, selon eux, ils Ă©taient en mesure d’occuper toute l’Allemagne, et ils ne se sont retirĂ©s des territoires dĂ©jĂ  pris et une grande partie de Berlin qu’aprĂšs les accords de Potsdam. Pour les explosions atomiques, je tiens ces dĂ©clarations de citoyens Japonais Ă©corchĂ©s par cette ignoble action dont ils gardent un souvenir tenace. J’étais une fois Ă  Hiroshima, voulant demander un renseignement, un Japonais a refusĂ© de me rĂ©pondre et m’a Ă©vitĂ© comme quelqu’un qui Ă©vite un agresseur. En rentrant le soir Ă  l’hĂŽtel j’ai racontĂ© cela, il m’a Ă©tĂ© rĂ©pondu qu’il y a encore une catĂ©gorie de Japonais qui refusent de rĂ©pondre dans la langue de ceux qui les ont humiliĂ©s et qui disposent en outre de plus de dix bases militaires dans leur pays et se conduisent comme des conquĂ©rants. Mais en regardant plus globalement je dirais c’est la marche de l’histoire qui est ainsi. AprĂšs tout peut-ĂȘtre que ces essais auraient certainement produit plus de dĂ©gĂąts plus tard si l’expĂ©rience de l’explosion de Hiroshima n’avait pas eu lieu. Supposons Moscou ou PĂ©kin en pleine guerre froide
 » 1 Dans cette rĂ©ponse, deux points ressortent. D’abord le refus du Japonais de donner un renseignement juste pour l’orienter ». Rien Ă  voir avec l’histoire qu’a vĂ©cu Hiroshima. On comprend que voir un Ă©tranger pour le Japonais d’Hiroshima, c’est lui rappeler la blessure profonde qu’a vĂ©cue le Japon, en particulier les habitants de cette ville-martyr. L’holocauste est omniprĂ©sent dans leur mĂ©moire. La population d’Hiroshima en 1945, lors de l’explosion nuclĂ©aire au-dessus d’eux, a vĂ©cu un enfer sur terre, un enfer Ă  la mesure des apocalypses relatĂ©es dans les rĂ©cits bibliques. Des ĂȘtres humains qui s’évaporent en fraction de seconde sous une tempĂ©rature se comptant en millions de degrĂ©s. Harry Truman dira dans son discours, le jour suivant la destruction d’Hiroshima, le 8 aoĂ»t 1945 La bombe atomique permet d’intensifier d’une maniĂšre nouvelle et rĂ©volutionnaire la destruction du Japon. Sa force relĂšve de la force Ă©lĂ©mentaire de l’univers, de celle qui alimente le Soleil dans sa puissance. Cette force vient d’ĂȘtre lancĂ©e contre ceux qui ont dĂ©chaĂźnĂ© la guerre en ExtrĂȘme-Orient. » 4 On comprend le silence du Japonais dictĂ© par un libre arbitre immĂ©diat » qui reflĂšte la conscience de ce souvenir extrĂȘmement Ă©prouvant et unique au monde. Le journal Le monde relate les rares tĂ©moignages de victimes des bombardements nuclĂ©aires en 1945 et ce que fut leur calvaire physique et moral aprĂšs l’holocauste. Ce que vous voyez aujourd’hui au MusĂ©e de la paix n’est rien comparĂ© aux images qui hantent nos mĂ©moires », tĂ©moigne Suneo Tsuboi 90 ans, prĂ©sident de l’Association des survivants de la bombe A qui a des groupes dans tout le Japon. Il avait 20 ans ce 6 aoĂ»t 1945 Ă  Hiroshima, et se trouvait Ă  un kilomĂštre de l’épicentre. ProjetĂ© de plusieurs mĂštres par la dĂ©flagration, gravement brĂ»lĂ© au visage et aux bras, Suneo Tsuboi resta quarante jours dans le coma. Plus je me souviens, plus je souffre » Mais ces rĂ©cits sont pour la plupart ceux de mĂ©decins, d’écrivains. Avec la disparition des victimes qui ont vĂ©cu ces moments atroces 350 000 atomisĂ©s » dont 140 000 sont morts sur le coup ou dans les semaines suivantes s’évanouit la mĂ©moire des gens ordinaires les mots sur lesquels ils trĂ©buchent pour dire leur calvaire, la dĂ©tresse de regards qui semblent un Ă©cho au cri du poĂšte atomisĂ© Sankichi Toge, Rendez-nous notre humanitĂ© ! » Certains s’en veulent de ne pas avoir secouru de victimes, d’avoir laissĂ© mourir des enfants dans d’insupportables souffrances ou simplement d’avoir Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©s, mais l’instinct de vie les poussait Ă  penser d’abord Ă  eux-mĂȘmes
 Keiko Ogawa, qui avait 8 ans en 1945 et se trouvait Ă  2,5 km de l’épicentre, fut miraculeusement sauvĂ©e. Je me souviendrai toujours de la sensation de la main d’une femme atrocement dĂ©figurĂ©e qui m’agrippa la cheville implorant que je lui donne de l’eau. » Hiroshima, avec son mausolĂ©e de la Paix Ă  proximitĂ© du dĂŽme Ă©ventrĂ© et calcinĂ© de ce qui fut le pavillon pour la promotion des industries locales, l’un des rares vestiges du feu nuclĂ©aire, a le culte du souvenir. Elle commĂ©more, mais s’évanouit cette mĂ©moire Ă  vif, celle des survivants qui est l’écho de la voix des morts », dit Mme Ogawa. » Ce sont ces souvenirs dans leur violence que s’efforcent de recueillir les successeurs » des hommes et des femmes qui ont Ă©tabli une relation affective avec des hibakusha et s’attachent Ă  transmettre leurs rĂ©cits et leurs Ă©motions. Le projet a Ă©tĂ© lancĂ© par la municipalitĂ© en 2002 et il y a actuellement 141 successeurs ». Selon Mme Minako Omatsu 43 ans, qui a eu de longs entretiens avec un atomisĂ©, Masahiro Kunishige 84 ans, il ne s’agit pas de recueillir des faits mais les sentiments des victimes, la douleur qu’ils ne verbalisent pas lorsque M. Kunishige a commencĂ© Ă  se confier, ses yeux se sont embuĂ©s de larmes il y a lĂ  une part d’une vĂ©ritĂ© indicible de ce qu’il a vĂ©cu ». Plus je me souviens et plus je souffre », dit pour sa part Suneo Tsuboi. La mort frappa d’un coup. Puis, pour ceux qui survĂ©curent, il y eut les jours et les semaines oĂč il fallut survivre dans les dĂ©combres et la pestilence, sans soins – on apaisait les douleurs des brĂ»lures des victimes avec des tranches de concombre », se souvient Mme Ogawa – et sans eau – c’est en souvenir de ce manque qu’Hiroshima dispose aujourd’hui d’un grand nombre de fontaines et de piĂšces d’eau. Ensuite vinrent les annĂ©es au cours desquelles les survivants s’installĂšrent dans l’attente des symptĂŽmes du mal obscur qui Ă©tait en eux. Une lente agonie Nous dĂ©couvrions que la bombe Ă©tait dans nos corps », poursuit Mme Ogawa. En famille, on n’en parlait pas, et on cachait aux autres que nous Ă©tions des atomisĂ©s » » 5 Ce tĂ©moignage reflĂšte la souffrance de l’homme dans l’existence qu’il n’a pas choisie, oĂč l’homme et le libre arbitre ne sont rien face aux nĂ©cessitĂ©s du devenir. Il reste toujours cette idĂ©e que des hommes meurent et souffrent pour que d’autres vivent. Combien de morts dans des RĂ©volutions populaires pour que des peuples se libĂšrent et gagnent leur dignitĂ© humaine. Le deuxiĂšme point a trait Ă  cette marche de l’histoire si, par exemple, elle ne s’était pas rĂ©alisĂ©e comme elle le fut en 1945. En clair, si hypothĂ©tiquement parlant, elle se serait rĂ©alisĂ©e autrement. Que serait-il passĂ© dans le monde ? Par exemple, les États-Unis n’avaient pas dĂ©couvert les effets de la bombe atomique en 1945. Que le Japon ne fut pas nuclĂ©arisĂ©, et la guerre Ă©videmment s’est poursuivie dans le Pacifique entre les États-Unis et le Japon. Ce n’est qu’aprĂšs trois annĂ©es, au moment oĂč Tokyo, la capitale du Japon, allait ĂȘtre prise comme le fut avant, Berlin, la capitale de l’Allemagne, en avril-juin 1945, que les essais de la bombe atomique furent concluants en 1948. » Et, Ă  cette date, ce serait certainement les SoviĂ©tiques et les AmĂ©ricains qui seraient les puissances occupantes du Japon. N’oublions pas que l’URSS a dĂ©clarĂ© la guerre au Japon, le 8 aoĂ»t 1945, conformĂ©ment aux accords de Yalta. Elle a envahi la Mandchourie occupĂ©e par le Japon, le 9 aoĂ»t 1945. Donc le Japon sera pris en Ă©tau, par les SoviĂ©tiques et les AmĂ©ricains durant trois annĂ©es 1945-1948. Si, au moment de la reddition du Japon, les États-Unis procĂšdent Ă  l’essai d’une bombe atomique, et cet essai est concluant, dĂšs lors, dans les nĂ©gociations, les AmĂ©ricains seraient forcĂ©ment en position de force. Donc, malgrĂ© que l’URSS disposait de la plus grande armĂ©e du monde avec ses plus de 20 000 chars et 20 000 avions, les États-Unis imposeront leurs vues sur le Japon et sur tout le Pacifique. D’autant plus que les États-Unis chercheront Ă  tout prix Ă  endiguer l’influence du communisme sur l’Asie. Le raisonnement amĂ©ricain est simple. Si l’Asie entiĂšre est gagnĂ©e par le communisme, que resterait-il Ă  l’Occident ? » Une Europe pour au moins la moitiĂ© est dĂ©jĂ  sous rĂ©gime communiste, et l’Afrique, le monde arabe, l’AmĂ©rique du Sud ? DĂ©jĂ  l’Afrique est gagnĂ©e par des idĂ©es anticolonialistes, donc anti-occidentales, elle tombera forcĂ©ment dans le systĂšme politique communiste ou socialiste. Une partie du monde arabe dĂ©colonisĂ©e rejoindra sĂ»rement le camp socialiste. L’AmĂ©rique du Sud, un continent pauvre, exploitĂ©e par la finance occidentale, pourrait se retrouver aussi en partie dans le camp socialiste. Que restera-t-il en fait Ă  l’Occident ? Une petite partie de l’Asie avec les monarchies arabes du Moyen-Orient, et une partie de l’AmĂ©rique du Sud. Il est clair que le rapport des forces est dĂ©sĂ©quilibrĂ© et que, en faveur, de l’URSS, le dĂ©sĂ©quilibre ne pourra que se creuser mettant inĂ©vitablement l’Occident capitaliste en minoritĂ©. » Des pays d’Europe de l’Ouest pourraient » rejoindre le camp communiste. » L’existence mĂȘme de l’Occident libĂ©ral, capitaliste serait en danger. Et ce danger va prendre rĂ©ellement forme, devenir une rĂ©alitĂ© pour ainsi dire intangible », du jour oĂč Mao Zedong, prĂ©sident du parti communiste chinois PCC, proclame le 1er octobre 1949, la fondation de la rĂ©publique populaire de Chine Ă  PĂ©kin. La proclamation de la RPC change toutes les cartes maĂźtresses amĂ©ricaines et occidentales, en Asie et dans le monde. L’URSS et la Chine pourraient changer la nature de l’équilibre du monde. Ce cas de figure Ă©noncĂ© peut-il ĂȘtre un fait de science-fiction ? Non ? Il entre dans les possibilitĂ©s d’existence si l’Essence du monde l’a ordonnĂ© ainsi. Évidemment, on peut toujours dire que cela ne s’est pas opĂ©rĂ© ainsi. Et c’est vrai, mais cela pouvait ĂȘtre autrement la configuration du monde, en restant sur le plan des hypothĂšses. L’essentiel que nous visons, et ce qui est important dans cette hypothĂšse, qu’aurait donnĂ© une situation pareille pour l’humanitĂ© tout entiĂšre ? » Et c’est cela qui nous pousse Ă  cette analyse dans la comprĂ©hension de la marche du monde. ». En supposant que les États-Unis dĂ©tiennent dĂ©jĂ  la bombe atomique, et qu’elle a Ă©tĂ© essayĂ©e avec succĂšs dans un espace du territoire amĂ©ricain tenu secret, et que les autres puissances en l’occurrence l’URSS et la Chine ont mĂȘme Ă©tĂ© informĂ©es mais les informations sur cette bombe n’ont pas la mĂȘme valeur que cela devrait ĂȘtre dĂšs lors qu’ils n’ont pas une idĂ©e prĂ©cise des effets apocalyptiques qu’elle peut provoquer. Cela peut paraĂźtre Ă  un travail d’intox, action insidieuse par la dĂ©sinformation. ForcĂ©ment, le bras de fer va continuer entre les États-Unis et l’URSS. Mais la victoire de la Chine et la proclamation de la RĂ©publique populaire de Chine va certainement changer les rapports de force. Une occasion pour les dirigeants soviĂ©tiques de mettre la pression sur les États-Unis comme ils l’ont fait en imposant un blocus sur Berlin, le 24 juin 1948, en bloquant toutes les voies routiĂšres et navigables obligeant AmĂ©ricains, Britanniques et Français Ă  organiser un grand pont aĂ©rien pour ravitailler leurs forces militaires et les populations civiles berlinoises. Le seul moyen pour communiquer avec leurs zones d'occupation Ă©tait la voie des airs. Bien sĂ»r, les SoviĂ©tiques auraient pu empĂȘcher la voie des airs, et Ă©videmment cela aurait dĂ©clenchĂ© une nouvelle guerre peut-ĂȘtre mĂȘme mondiale. Ce qu’ils n’ont pas voulu mais ils ne l’ont pas fait pour la simple raison qu’ils ont voulu imposer leurs rĂšgles, leur vision du monde pour laquelle tant que les rĂ©gimes politique capitalistes existaient, ils constituaient un danger pour l’existence de l’Union soviĂ©tique. Et Ă©videmment rĂ©ciproquement. Par consĂ©quent, n’ayant pas connaissance des vrais effets de la bombe puisque le Japon n’a pas Ă©tĂ© nuclĂ©arisĂ© – il n’y a pas eu la destruction d’Hiroshima et de Nagasaki –, et la fin de la DeuxiĂšme Guerre n’a pris fin qu’en 1948, dĂšs lors les dirigeants soviĂ©tiques avec l’avĂšnement de la Chine populaire, en 1949, vont passer Ă  l’offensive. Se faisant face sur le 38Ăšme parallĂšle, depuis 1945, et la proclamation de la CorĂ©e du Sud et la proclamation de la RĂ©publique populaire dĂ©mocratique de CorĂ©e, en 1948, ils n’hĂ©siteront pas avec les Chinois Ă  pousser Ă  la guerre les deux CorĂ©es, en 1950. L’objectif Ă©tant surtout de rejeter les États-Unis de la CorĂ©e qui leur sert de base avancĂ©e pour leurs forces militaires. Donc Ă©jecter les États-Unis permet Ă  l’URSS et Ă  la Chine d’affaiblir les États-Unis qui perdent au triple plan 1. une place hautement stratĂ©gique puisqu’ils sont Ă  la frontiĂšre des deux grandes puissances, 2. sur le plan idĂ©ologique, 3. l’endiguement du communisme par les États-Unis se transforme en reflux, en recul. Devant l’échec amĂ©ricain par deux fois durant la guerre, d’abord suite Ă  l’offensive nord-corĂ©enne au dĂ©but de la guerre, et l’échec de la contre-offensive amĂ©ricaine qui a repris certes des territoires perdus, mais avec l’entrĂ©e en force des Chinois dans le conflit, les États-Unis se sont retrouvĂ©s bloquĂ©s par l’arrivĂ©e massive des troupes chinoises. ConfrontĂ©s Ă  une situation extrĂȘmement difficile, la guerre va en s’exacerbant, les forces corĂ©ennes et chinoises peuvent continuer la guerre. Il est certain que le conflit va aller Ă  leur avantage compte tenu de la puissance chinoise et le soutien russe. Seul l’emploi de l’arme atomique qui n’a jamais Ă©tĂ© essayĂ© contre des forces pourrait changer le sort de la guerre. Et on comprend que demande du gĂ©nĂ©ral amĂ©ricain Mac Arthur de disposer de bombes atomiques ne trouvera pas d’opposition Ă  la Maison Blanche. Ni Harry Truman, le prĂ©sident amĂ©ricain, ni ses conseillers ne pourront s’opposer, le sort de la guerre en CorĂ©e est en jeu. De plus l’emploi de l’arme atomique va montrer sa suprĂ©matie au monde pour au moins quatre raisons. 1. la bombe n’a jamais Ă©tĂ© essayĂ©e, les autres puissances ne connaissent l’importance des destructions qui sont apocalyptiques » sur des objectifs militaires ou civils rĂ©els. 2. la bombe va, pour les États-Unis compte tenu de l’importance de l’éloignement, et la faiblesse en nombre d’hommes alignĂ©s dans les forces de combat, s’avĂ©rer l’ultime moyen pour l’AmĂ©rique de renverser l’équilibre des forces. 3. Montrer la suprĂ©matie de l’AmĂ©rique face Ă  l’URSS et Ă  la Chine. 4. Eviter d’ĂȘtre Ă©jectĂ© de la CorĂ©e du Sud ce qui inĂ©vitablement si les États-Unis Ă©taient obligĂ©s de quitter la CorĂ©e du Sud, de provoquer un effet domino. » Ils seront Ă©jectĂ©s aussi du Japon, et du reste de l’Asie. Et que demande le gĂ©nĂ©ral Mac Arthur en nombre de bombes atomiques ? Ce n’est pas deux mais des dizaines si l’on croit certains Ă©crits. Et cela semble logique. La Chine Ă  l’époque avec ses 540 millions de Chinois et son espace gĂ©ographique, 3Ăšme pays du monde n’est pas le Japon. DĂšs lors comme dit mon ami Mohammed Bensadek AprĂšs tout peut-ĂȘtre que ces essais auraient certainement produit plus de dĂ©gĂąts plus tard si l’expĂ©rience de l’explosion de Hiroshima n’avait pas eu lieu. Supposons Moscou ou PĂ©kin en pleine guerre froide
 » PrĂ©cisĂ©ment, le gĂ©nĂ©ral Mac Arthur, pour briser l’adversaire sino-nord-corĂ©en va certainement nuclĂ©ariser plusieurs villes chinoises. Avec probablement des millions de Chinois tuĂ©s. La guerre sera-t-elle finie entre les États-Unis, l’Union soviĂ©tique et la Chine ? On n’a mĂȘme pas besoin d’épiloguer sur ce qui sera avec une attaque nuclĂ©aire sur plusieurs villes chinoises. On laissera le lecteur se reprĂ©senter les dommages ineffaçables qu’aurait entraĂźnĂ©s une guerre nuclĂ©aires contre la Chine. PrĂ©cisĂ©ment le dĂ©veloppement de ce cas de figure de guerre qui n’a Ă©tĂ© donnĂ© que pour dire que la guerre aurait pu se dĂ©rouler autrement, avec des consĂ©quences bien plus graves que ne le fut la nuclĂ©arisation du Japon. Et si, l’URSS avait aussi dĂ©couvert l’arme atomique juste aprĂšs l’emploi de l’arme nuclĂ©aire contre la Chine durant la guerre de CorĂ©e, que serait-il passĂ© si les SoviĂ©tiques avaient transmis le secret de la bombe atomique Ă  la Chine ? On n’a mĂȘme pas besoin de se reprĂ©senter le dĂ©sastre qui pourrait s’ensuivre parce que la Chine n’est pas le Japon. Et la Chine qui aura la bombe, que sera le monde aprĂšs ce conflit ? Aussi, nous arrivons Ă  la conclusion du sens du dĂ©veloppement hypothĂ©tique sur la guerre de CorĂ©e entre 1950 et 1953 » comparativement Ă  ce qui s’est produit rĂ©ellement. Avec la destruction d’Hiroshima et Nagasaki Ă  trois jours d’intervalle, le 6 et 9 aoĂ»t 1945. Ce qui s’est passĂ© en 1945 donne entiĂšrement raison Ă  la vision schopenhauerienne du monde humain ». Dans le sens absolu, le libre arbitre de l’homme n’existe pas parce que le monde est en dernier ressort fait » par l’Essence, et donc par Dieu. Et le libre arbitre octroyĂ© Ă  l’homme est certes une rĂ©alitĂ© sinon il n’y aurait pas eu de sens pour lui dans son existence, cependant le libre arbitre n’opĂšre que dans l’immĂ©diatetĂ© du temps ». Une immĂ©diatetĂ© temporelle qui est flexible, mais toujours courte et en rapport avec la capacitĂ© limitĂ©e de l’homme de saisir son devenir. » L’homme peut connaĂźtre les lois de la nature pour s’en servir, peut viser des valeurs, peut ĂȘtre responsable de son devenir, mais sur ce dernier point il ne peut l’ĂȘtre totalement pour la simple raison que s’il avait les moyens, il aurait dĂ©truit tout obstacle qui se serait dressĂ© sur son chemin. L’Afrique et une grande partie de l’Asie Inde, Mandchourie, Indochine, CorĂ©e... n’ont-elles pas Ă©tĂ© colonisĂ©es par le fer et le sang ? Et c’est prĂ©cisĂ©ment lĂ  qu’entrent la Loi de la NĂ©cessitĂ© et la Loi de la CausalitĂ©. Rien ne vient sans cause sauf Dieu qui est Un et Cause suprĂȘme de tout. Par consĂ©quent, on peut se poser la question pourquoi avoir comparĂ© l’hypothĂ©tique cas de guerre qui a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© et la rĂ©alitĂ© qui s’est produite en aoĂ»t 1945, et qui n’a visĂ© que la nuclĂ©arisation de Hiroshima et Nagasaki. Donc seul le Japon fut touchĂ© et de surcroĂźt Ă©tait fortement affaibli, et faisait face, en aoĂ»t 1945, Ă  deux grandes puissances, l’Union soviĂ©tique et les États-Unis. Il est Ă©vident au regard de la destruction apocalyptique qui a touchĂ© le Japon, et qu’en dernier ressort c’est l’Essence suprĂȘme qui rĂ©git l’humanitĂ© entiĂšre et par laquelle l’humanitĂ© doit son existence, et comme les textes bibliques tant la bible hĂ©braĂŻque et chrĂ©tienne et l’Islam l’affirment, la seule explication vient du glaive et de la bontĂ© de la Providence. Il n’y a pas, sur le plan absolu », d’explication par l’homme ni par l’histoire de la nuclĂ©arisation d’Hiroshima et de Nagasaki. Il est certain que, si la situation avait Ă©voluĂ© autrement, que les États-Unis auraient dĂ©couvert la bombe quelques annĂ©es plus tard, le Japon avait dĂ©jĂ  capitulĂ©, et la bombe n’avait jamais Ă©tĂ© essayĂ©e, une guerre nuclĂ©aire Ă  grande Ă©chelle aurait certainement survenu. Pour la simple raison qu’il n’y aurait pas de solution aprĂšs la fin de la guerre. Les États-Unis voudront endiguer le communisme, c’était une question de survie pour l’Occident libĂ©ral, une guerre nuclĂ©aire Ă  grande Ă©chelle aurait Ă©tĂ© inĂ©vitable. Et c’est la raison pour laquelle on fait rĂ©fĂ©rence Ă  la mĂ©taphysique de l’existence, que l’on met en avant le glaive et la bontĂ© de la Providence », qui est une rĂ©alitĂ© sauf que l’on ne s’aperçoit pas surtout pour ceux qui ne croient pas Ă  l’existence de Dieu, et croit que le monde est rĂ©gi par lui-mĂȘme, sans cause. En clair, le sacrifice de deux villes japonaises ont sauvĂ© l’humanitĂ© d’une guerre apocalyptique encore plus nĂ©faste. Pour ne citer qu’un tĂ©moignage rĂ©cent et extrĂȘmement fort, les États-Unis Ă©taient Ă  deux doigts de la guerre avec la CorĂ©e du Nord, en 2017. Le prĂ©sident amĂ©ricain Donald Trump et le prĂ©sident nord-corĂ©en Kim Jon-un multipliaient les provocations, et agitaient la menace nuclĂ©aire. Trump comparait la taille de son bouton nuclĂ©aire » avec celui de Kim Jong-un. Une guerre si elle s’était dĂ©clarĂ©e aurait embrasĂ© quatre pays, les deux CorĂ©es, le Japon et les États-Unis. AprĂšs avoir procĂ©dĂ© aux essais nuclĂ©aires de la bombe A et la bombe H, et testĂ© ses missiles intercontinentaux, s’assurant qu’il pouvait toucher n’importe quel point du territoire amĂ©ricain, Kim Jong-un a ensuite fait volte-face, et change totalement de politique. Il ouvre la CorĂ©e du Nord Ă  la CorĂ©e du Sud, rencontre le prĂ©sident sud-corĂ©en Moon Jae-in, le 27 avril 2018, et le prĂ©sident amĂ©ricain le 12 juin 2018. Le prĂ©sident Moon Jae-in se rend Ă  Pyongyang le 19 septembre 2018. Aujourd’hui, Kim Jong-un demande de nouveau un sommet avec Donald Trump. Une voie de la sagesse ? Un prodige ce changement Ă  180 degrĂ©s de la politique du leader nord-corĂ©en ? Bien sĂ»r, sur le plan causal, c’est la crainte d’une guerre apocalyptique pour la CorĂ©e du Nord. Bien que la CorĂ©e du Nord pourra toucher e territoire amĂ©ricain, sud-corĂ©en et japonais, il est certain que Kim Jong-un emportera son pays, son peuple dans l’apocalypse nuclĂ©aire. La CorĂ©e du Nord cessera d’exister, elle sera non seulement nuclĂ©arisĂ©e mais englobĂ©e dĂ©finitivement dans une seule CorĂ©e avec cette qu’ont eu les habitants d’Hiroshima et Nagasaki. Probablement, les États-Unis seront touchĂ©s, le Japon aussi et la CorĂ©e du Sud aussi. Mais que sera la CorĂ©e du Nord ? Et une guerre extrĂȘmement catastrophique pour la Chine et la Russie, et leur aura qui a tout perdu en Asie et dans le monde, pour n’avoir pas Ă©vitĂ© une apocalypse nuclĂ©aire sur l’AmĂ©rique et une partie de l’Asie. Et on comprend en fin de compte que la volte-face de Kim Jong-un revient Ă  l’Essence. A la bontĂ© de la Providence qui a Ă©clairĂ© la pensĂ©e » du dirigeant nord-corĂ©en d’aller vers une solution pacifique. » Hiroshima et Nagasaki dĂ©truites Ă  trois jours d’intervalle et, Ă  l’époque sans armes nuclĂ©aires mĂ©gatonniques, la bombe H, sont encore lĂ  pour montrer ce qui en coĂ»terait une guerre nuclĂ©aire. Ainsi on comprend que rien ne vient au hasard dans le monde, et tout ce qui arrive Ă  l’homme a une raison, une cause. Comme d’ailleurs mon ami qui m’écrit et me dit Le libre arbitre. Telle est la question. Je n’ose pas entrer dans les mĂ©andres intellectuels philosophiques, je risque de me perdre et ne pas en sortir. Tout de mĂȘme je suis tentĂ© de dire en rejoignant Schopenhauer que le libre arbitre n’existe pas ou du moins s’il existe il est dirigĂ© ou administrĂ©. Je cite ici le verset 30 de la sourate el baqara » la vache, 87Ăšme sourate dans l’ordre chronologique. Elle a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e le lendemain de l’HĂ©gire et qui dit Lorsque Ton Seigneur confia aux anges Je vais Ă©tablir sur la terre un vicaire Khalifa ». Ils dirent Vas-Tu y dĂ©signer un qui y mettra le dĂ©sordre et rĂ©pandra le sang, quand nous sommes lĂ  Ă  Te sanctifier et Ă  Te glorifier ? » - Il dit En vĂ©ritĂ©, Je sais ce que vous ne savez pas ! ». Si je comprends, cela veut dire que le Seigneur a créé un ĂȘtre Ă  qui il a donnĂ© des attributions peut-ĂȘtre aussi des missions et les anges ignorent le pourquoi de cette crĂ©ation puisqu’ils pressentent dĂ©jĂ  que cet ĂȘtre mettra du dĂ©sordre et rĂ©pandra le sang
 » Mais le Seigneur, lui, sait pourquoi il l’a créé. Par ailleurs cet ĂȘtre est Ă©tabli sur la terre en tant que vicaire khalifa c’est-Ă -dire une sorte de dĂ©lĂ©guĂ©. C’est peut-ĂȘtre lĂ  qu’une partie du libre arbitre lui est attribuĂ©. C’est un peu comme une dĂ©lĂ©gation de signature ! Et lĂ  je ne vois pas comment extraire ce qui est du ressort du Seigneur et ce qui est de son khalifa. » 6 Je lui rĂ©pondis En vĂ©ritĂ©, il n’y a rien Ă  extraire ni de l’homme et encore moins du Seigneur. L’homme n’est qu’un ĂȘtre créé par Dieu et il peuple la terre. Cela lui est donnĂ© par l’Essence, et c’est la raison pour laquelle combien mĂȘme il est libre et capable de tous les faits bons ou mauvais, dans son existence propre ou existence collective, il est sans le savoir, ou plutĂŽt il sait et souvent il refuse et n’arrive pas de saisir qu’il est toujours reliĂ©, assujetti Ă  la puissance divine. Qu’il existe et tout ce qu’il fait, qu’il rĂ©ussisse ou non, individuellement ou collectivement, il dĂ©pend de Dieu. Et l’essence qui le tĂ©moigne d’une maniĂšre certaine, sans aucune ambiguĂŻtĂ©, est sa pensĂ©e que son corps vĂ©hicule, et elle aussi vĂ©hicule son contenu pour l’homme, est qu’est-elle ? D’oĂč vient-elle ? La seule rĂ©ponse qui vient de soi suffit Ă  lui dire qu’il est reliĂ© Ă  la Cause suprĂȘme du monde, Ă  la Cause CrĂ©atrice de l’univers. Évidemment, il faudrait que l’homme soit suffisamment inspirĂ© » pour accepter ce lien mĂ©taphysique, et comprendre ce processus existentiel et existential. VoilĂ  la rĂ©ponse appropriĂ©e qu’il faut penser pour l’accepter ou... la refuser. Et tout jugement sur l’essence dĂ©pend de cette disponibilitĂ© de l’esprit de l’homme Ă  analyser et par ce biais Ă  s’analyser soi-mĂȘme. Pourquoi ? Pour la simple raison, dans le cas de la mĂ©taphysique de l’ĂȘtre, surtout dans son existential si l’on puisse dire, l’homme qui lit ce texte ne juge pas son auteur mais se juge soi-mĂȘme. Parce qu’il s’adresse Ă  son essence d’ĂȘtre et s’il est en conformitĂ© avec ce que lui souffle sa pensĂ©e Ă  travers ses facultĂ©s, ses Ă©tats d’ñme qui englobent tout de lui. L’acceptation ou le refus de cette affirmation sur l’essence ne sera que sa rĂ©ponse sur son propre esprit, et non sur celui de l’auteur de ses lignes. Ici l’auteur ne cherche pas Ă  s’absoudre s’il Ă©nonce quelque fausse vĂ©ritĂ© mais simplement mĂȘme fausse soit-elle ne libĂšre pas celui qui y rĂ©flĂ©chit Ă  l’exclusion de l’auteur puisque c’est sa propre pensĂ©e qui l’énonce. Un Ă©vĂ©nement intĂ©ressant que l’auteur relate et traite d’une certaine maniĂšre de la Providence divine. L’auteur a vĂ©cu a vĂ©cu Ă  Oran, la deuxiĂšme ville d’AlgĂ©rie, une certaine pĂ©riode de sa vie. Ensuite il a habitĂ© Ă  Alger. Donc, habitant Ă  l’époque Alger, il m’arrivait pĂ©riodiquement de me rendre Ă  Oran pour me recueillir au cimetiĂšre, sur les tombes de mes parents. Habituellement, je passais une nuit Ă  Oran, et ce n’est que le lendemain que je retournais Ă  Alger. Un jour, aprĂšs la visite du cimetiĂšre, n’ayant rien Ă  faire l’aprĂšs-midi, je suis sorti de l’hĂŽtel et j’ai traĂźnĂ© en ville. Habituellement, aprĂšs le cimetiĂšre, je donne toujours l’aumĂŽne aux pauvres. Une somme assez importante faut-il souligner. Ce jour-lĂ , je me trouvais dans la rue de la Bastille, une rue trĂšs frĂ©quentĂ©e par la population parce qu’elle Ă©tait commerçante. On trouvait de tout. Boucheries, marchands de lĂ©gumes et de fruits, de magasins d’ustensiles de cuisine, etc. Alors que je m’apprĂȘtais Ă  distribuer une partie de l’argent, tout d’un coup j’eus des pensĂ©es Ă©tranges sur le sens de la charitĂ© des pauvres. Je me retrouvais Ă  deviser en moi-mĂȘme pourquoi donner de l’argent aux pauvres et qu’apporterais-je Ă  ces pauvres ? Quelques milliers de dinars ? Est-ce important ce que je donnerais ? Suis-je rĂ©ellement charitable ? Et ainsi de suite, et je doutais rĂ©ellement sur l’acte de charitĂ©. Et pendant que je pensais, tout d’un coup, toujours au niveau de cette rue, et parmi les gens, je fus brusquement bousculĂ© par des jeunes qui se disputaient. Je ne fis pas attention, en somme ce n’était pas grave, juste une petite bousculade. Continuant Ă  marcher, mettant ma main dans ma poche, puis instinctivement regardant l’autre poche, stupeur, l’argent que j’avais a disparu. Je n’avais plus d’argent, heureusement les papiers d’identitĂ© n’avaient pas disparu. C’était encore l’aprĂšs-midi, la poste centrale juste Ă  cĂŽtĂ© Ă©tait encore ouverte. J’ai fait la chaĂźne, et j’ai tirĂ© un chĂšque. Cette mĂ©saventure m’apprit une leçon. Doutant de l’acte de charitĂ©, l’Essence m’a simplement montrĂ© que je devais le faire, et ne devais pas dĂ©roger Ă  cette rĂšgle humaine. Au fond, me suis-je dis, si des jeunes m’ont volĂ©, c’est qu’ils Ă©taient dans le besoin. On ne peut voler sans cause. Le principe de causalitĂ© est partout. Tout acte, toute chose qui est mue a une cause. Rien ne vient du NĂ©ant. Au final, la Providence divine m’a intimĂ© Ă  faire la charitĂ©. Je l’ai fait autrement, avec cependant cette pensĂ©e de douter de l’acte de charitĂ© qui Ă©tait blĂąmable. Cette pensĂ©e de moi qui relĂšve de mon propre arbitre faut-il souligner que la Providence a corrigĂ© m’a donnĂ© un plus dans le sens de mon existence. Et tout homme peut regarder par sa conscience de son passĂ© s’il n’a pas commis un acte blĂąmable et que la Providence divine a puni. En constatant sa vie, son existence, en constatant un acte blĂąmable passĂ©, et en prenant conscience qu’il a Ă©tĂ© sanctionnĂ© par l’Essence divine, l’homme ne saurait se sentir coupable et mĂȘme peut se sentir absous pour au moins quatre raisons. 1. Il est un ĂȘtre créé faible, et par son libre arbitre, il se trouve Ă©cartelĂ© entre le bien et le mal, 2. MĂȘme le mal il ne le sait pas exactement parce qu’il peut le commettre sans en prendre conscience. Par Ă©goĂŻsme, par des pensĂ©es nĂ©gatives qui lui viennent Ă  l’esprit. 3. Par ignorance qu’il fait le mal. 4. Et il a payĂ© dans un certain sens son mal. Et cela aurait pu ĂȘtre plus grave, si, par exemple, il avait Ă©tĂ© agressĂ© avec violence. PrĂ©cisĂ©ment, si la Providence intervient, et qu’il en prenne conscience, il est presque pour ainsi dire rachetĂ©. En clair il n’a pas fait le mal pour le mal. Cependant, l’homme souvent crĂ©e chez ses semblables de grandes souffrances et mĂȘme Ă  lui-mĂȘme s’il ne maĂźtrise pas ses pulsions, son libre arbitre. Par exemple, une ambition dĂ©mesurĂ©e, une jalousie maladive, un rejet affectif de l’autre et d’autres maux pathologiques de la personnalitĂ© humaine peuvent occasionner des angoisses telles qu’elles peuvent finir par de graves sĂ©quelles, voire mĂȘme l’irrĂ©parable. Une dĂ©pression, un suicide, un meurtre, etc. LĂ  aussi, on peut penser que la Providence n’a pas intervenu. En rĂ©alitĂ©, non. Ce qui a rĂ©sultĂ© et aussi grave que l’acte a Ă©tĂ©, il n’a Ă©tĂ© rĂ©tribuĂ© qu’en regard de la gravitĂ© de la situation humaine. Par exemple, si un homme ou une femme se suicide, et certainement pour des raisons affectives, c’est qu’il est arrivĂ© Ă  un Ă©tat mental oĂč il n’était plus viable. Son existence lui Ă©tait indiffĂ©rente, mĂȘme l’acte de violence qu’il allait commettre lui importait peu. Une insensibilitĂ© s’était gĂ©nĂ©rĂ©e en lui, sa mort Ă©tait une dĂ©livrance. Il ne pouvait vivre. L’homme normal qui verrait un tel acte, dira qu’il Ă©tait fou. PrĂ©cisĂ©ment le suicidĂ© Ă©tait devenu dans un certain sens fou. Dans son acte avec la mort, se tirer une balle dans la tĂȘte, ou se jeter sous un train, pour lui cela n’était pas un problĂšme. Sa conscience Ă©tait embrumĂ©e, sa pensĂ©e ne fonctionne que pour cet acte-lĂ , comme s’il Ă©tait programmĂ© pour ça. » Comme l’homme normal est lui aussi d’une certaine façon programmĂ© mais dĂ©tenant nĂ©anmoins un libre arbitre pour tenir Ă  la vie, pour aimer la vie jusqu’à la derniĂšre seconde de son existence. Mais la Providence divine aura toujours Ă  dĂ©cider en dernier ressort dans sa vie, sur son destin. Pour l’exemple, prenons l’évĂ©nement qui a survenu en France, au dĂ©but de ce mois de septembre. Dans un article d’Europe 1, on lit Une jeune femme de 30 ans a Ă©tĂ© percutĂ©e par une rame du RER D en gare de Combs-la-Ville, en Seine-et-Marne, lundi, selon Le Parisien ». Elle s'Ă©tait jetĂ©e sur les voies avec son bĂ©bĂ© dans les bras. Une jeune femme de 30 ans s'est jetĂ©e lundi matin, son bĂ©bĂ© dans les bras, sur les voies Ă  l'entrĂ©e d'un train de la ligne R en gare de Combs-la-Ville, en Seine-et-Marne, rapporte Le Parisien. La mĂšre et l'enfant sont morts. La victime avait accompagnĂ© son fils aĂźnĂ© Ă  l'Ă©cole. Vers 10h30 lundi, alors qu'un train entrait en gare, une jeune femme de 30 ans s'est jetĂ©e sur la voie ferrĂ©e avec son bĂ©bĂ© probablement ĂągĂ© d'un mois dans les bras. PercutĂ©s par la rame, la mĂšre et l'enfant sont morts sur le coup, selon Le Parisien. Selon les premiers Ă©lĂ©ments de l'enquĂȘte, la thĂšse du suicide est privilĂ©giĂ©e. La famille est nouvellement arrivĂ©e dans la commune », a indiquĂ© Guy Geoffroy, le maire de Combs-la-Ville. La victime a d’ailleurs accompagnĂ© son fils aĂźnĂ© Ă  l’école pour qu’il fasse sa rentrĂ©e. » Une enquĂȘte ouverte. La gare de Combs-la-Ville a Ă©tĂ© fermĂ©e et la circulation interrompue sur la ligne R entre les gares de Villeneuve-Saint-Georges et Melun pendant une partie de la journĂ©e. L'enquĂȘte a Ă©tĂ© confiĂ©e au commissariat de Moissy-Cramayel. Il s'agirait d'un geste dĂ©sespĂ©rĂ© aprĂšs une dĂ©pression amoureuse », selon une source proche de l'enquĂȘte consultĂ©e par Le Parisien. 7 Que peut-on dire de cet acte de suicide ? Qu’il a Ă©tĂ© prĂ©mĂ©ditĂ©, minutieusement programmĂ© ? Est-ce elle qui l’a programmĂ©. La cause, elle est donnĂ©e, le geste dĂ©sespĂ©rĂ© d’une femme touchĂ©e gravement sur le plan affectif. Son libre arbitre Ă©tait-il conscient ? Non. Il Ă©tait inconscient. Non. Se rappeler un ancien collĂšgue de travail qui se confiait Ă  moi, en me disant qu’il lui arrivait de parcourir 100 Ă  200 kms sans conscience. Ce n’est qu’arrivĂ© Ă  une ville ou Ă  un endroit de la route qu’il reprenait conscience, et qu’il se demandait ce qu’il faisait dans ces lieux. Et cela lui est arrivĂ© plusieurs fois. Je comprenais mon collĂšgue mais je n’avais aucune rĂ©ponse Ă  lui fournir. Cela se passait dans les annĂ©es 1980. Dans une analyse qui a Ă©tĂ© publiĂ©e en 2017, j’avais scindĂ© le libre arbitre en deux libres arbitres conscient et inconscient. Et j’avais Ă©crit Ă  ce sujet S’il avait un avion personnel, ce camarade aurait pu dĂ©coller et atterrir dans une autre ville. Qu’il se rĂ©veille en vol, ou qu’il atterrisse sans encombre dans une ville, importe peu. Il a tout simplement Ă©tĂ© transportĂ© lui et son avion, comme cela fut pour lui et sa voiture, se transportant vers une destination dont il n’avait pas conscience. Que peut-on dire de ce libre-arbitre agissant mais inconscient ? Beaucoup de phĂ©nomĂšnes humains ne sont pas expliquĂ©s, et c’est tout Ă  fait normal, l’homme est par une pensĂ©e dont il ne sait rien. D’oĂč elle vient ? Aucune rĂ©ponse sinon qu’elle est en lui, et qu’il est par elle. Tout ce qu’il sait est qu’il pense. Donc qu’il agit en pensant consciemment, disposant d’un libre-arbitre conscient, ou inconsciemment puisqu’il agit aussi, demeure qu’il est dĂ©pendant de l’Intelligence, de la Raison universelle qui Gouverne le monde, qui DĂ©cide du monde. Qu’il le sait ou non, c’est Elle, en dernier ressort, qui DĂ©cide qu’il soit ou non dans l’existence. En d’autres termes, il peut ĂȘtre agissant conscient ou sans en ĂȘtre conscient. » 8 Sauf que mon camarade de travail s’est rĂ©veillĂ© de son libre arbitre inconscient mais la suicidĂ©e de la Seine-et-Marne ne s’est pas rĂ©veillĂ©e. Elle est morte avec son bĂ©bĂ©. En rĂ©alitĂ©, elle n’est pas morte. Elle est morte pour nous, les ĂȘtres humains. Elle n’est pas morte pour l’Essence. Les ÉclairĂ©s » diront qu’elle et son bĂ©bĂ© ont Ă©tĂ© rappelĂ©s Ă  Dieu. En quelque sorte, elle a terminĂ© sa mission » sur terre. En clair, doit-on dire du suicidĂ© potentiel qui refusait de vivre ou de l’humain qui veut vivre, que tout relĂšve de l’Intelligence universelle, la Raison universelle ou la Providence divine. Ce sont les mĂȘmes mots qui reprĂ©sentent la Cause ultime ou Dieu dont nous provenons. Il faut simplement rĂ©flĂ©chir que nous ne sommes pas seuls mĂȘme si nous Ă©tions seuls sur Mars, ou sur la Lune. Nous sommes toujours accompagnĂ©s sans qu’on le sache, sans que l’on ne prenne conscience, ou si on prend conscience, on doit comprendre, apprĂ©cier le sens du miracle qu’est la vie ». Et sorti du nĂ©ant nous retournons au nĂ©ant, n’est pas le nĂ©ant que nous croyons. Enfin, pour terminer, nous arrivons Ă  la conclusion finale. Qui est l’homme ? Qui sommes-nous ? Dans le sens intrinsĂšque de ce qui relĂšve de nous sur notre prĂ©sence sur terre. Pourquoi existons-nous ? Pour saisir notre sens, le sens de nos vies, de notre essence, prenons une personne, par exemple, qui commente un article, et elle le fait sous un pseudo, donc anonymement. Que fait-elle ? Personne ne l’a obligĂ© de commenter un article quel qu’il soit de n’importe quel journal du monde. Et le journal, qu’est-ce que c’est ? Sinon le journal de nos vies, de nos existences sur terre pris dans le sens global des hommes, des humains sur terre et dans l’univers que nous ne connaissons qu’une petite partie mais lui nous connaĂźt sans qu’on le sache. Qu’a fait cet homme qui a commentĂ© cet article ? Pourtant, il n’était pas obligĂ©, et il n’a rien Ă  gagner, il ne fait que donner son opinion, il peut mĂȘme entrer en conflit avec un autre commentateur qui lui rĂ©pond dans les commentaires du journal, et ceux-ci peuvent procurer du bien comme procurer une gĂȘne, parfois un tourment, une angoisse. Le pseudo ne le protĂšge pas de l’autre et rĂ©ciproquement. » Leur souci est de comprendre, comme le dit mon ami Mohammed Bensadek, dans un Ă©crit Je ne peux pas refuser et je n’ai rien Ă  gagner aussi pour le faire. Mon souci est de comprendre dans le cadre de la curiositĂ© humaine. Comprendre, comme on dit, le comment du pourquoi la chose... » Oui, il ne peut pas refuser parce qu’il est liĂ©, lui aussi est cette essence de l’univers. Il ne sait pas qu’il participe Ă  l’univers. Tout ĂȘtre humain par sa prĂ©sence sur terre participe Ă  l’univers. La moindre chose que fait notre essence participe Ă  l’univers. Écrire sous un pseudo ou non participe aussi Ă  cet univers. Un autre Ă©vĂ©nement. Je me rappelle, une fois je marchais dans une ville de la Russie, c’était dans les annĂ©es 1970. J’étais Ă©tudiant Ă  Pouchkine, une petite ville non loin de l’ex-Leningrad, aujourd’hui renommĂ©e Saint-PĂ©tersbourg. C’était le week-end, et j’étais Ă  Saint-PĂ©tersbourg. Avec un ami qui Ă©tait algĂ©rien comme moi, on se promenait dans la principale avenue de la ville. Elle s’appelait Nevcki Prospect, appellation en russe dont le son est Ă©crit en français. Une belle avenue avec ses trottoirs larges et trĂšs propres. Pas un morceau de papier, dĂ©tritus ou autre, sur le trottoir. Je marchais tout en fumant. A un certain moment, j’ai jetĂ© le bout de cigarette par terre. Et il y avait relativement du monde sur cette avenue. Quand brusquement, une femme avec chapka et manteau, c’était l’hiver, m’interpelle. Elle passait au moment mĂȘme oĂč j’avais jetĂ© le mĂ©got de cigarette. Elle me dit en russe que j’écris les sons de ces mots en français VosmitiĂ©, pajalst, vach sygaret ». Reprenez votre cigarette ! ». Je crois qu’elle avait dit ou j’appelle la police – en Russie, la police, c’était la milicia. J’ai haussĂ© les Ă©paules, et avons continuĂ© notre chemin. Dans mon intĂ©rieur, je me disais que la femme Ă©tait un peu folle. On n’a pas idĂ©e d’interpeler les gens pour un mĂ©got de cigarettes, et encore jetĂ© dans la rue. Pourtant, le trottoir Ă©tait large, trĂšs propre, et des poubelles mĂ©talliques partout accrochĂ©es sur l’avenue. » Aujourd’hui que je rĂ©flĂ©chis Ă  cet Ă©pisode, que pourrais-je conclure sur ces mots qu’elle m’a lancĂ©s, ce reproche qu’elle m’a fait ? C’est simple la rĂ©ponse parle d’elle-mĂȘme, cette dame n’était pas folle comme je le crus. Au contraire, elle Ă©tait propre. Et par cette propretĂ© humaine, elle participait Ă  l’univers. Le sens de ces mots c’est un peu Ă  travers elle que l’univers parlait, et m’enjoignais de laisser propre le trottoir, qui est une parcelle de l’univers. L’univers se construit aussi par elle. Un infime geste de l’homme participe Ă  l’univers. Cela doit ĂȘtre ainsi sauf que nous ne le savons trĂšs peu. Que mon ami Mohammed m’enjoigne de lire Et on comprend pourquoi il est Ă©crit dans le verset 50 de la sourate Qaf Nous avons effectivement créé l'homme et Nous savons ce que son Ăąme lui suggĂšre et Nous sommes plus prĂšs de lui que sa veine jugulaire. » » L’homme relĂšve de l’Essence. Par consĂ©quent, qui est l’homme ? Qui sommes-nous ? Nous sommes l’univers par notre essence, une partie de cet univers, et l’univers est en nous et par nous dans notre essence. L’univers constitue le tout. Ce tout est nous, et ce nous est l’univers. L’homme ne pense que par l’univers et l’univers pense par lui combien mĂȘme l’homme n’en est qu’un microcosme. Et la Providence divine est au-dessus de nous, parce que c’est Elle qui a pensĂ© ce monde, créé ce monde. Nous sommes comme les Ă©lĂ©ments de l’atome qu’est ce monde. Nous ne sommes pas le noyau mais des Ă©lĂ©ments qui participent Ă  la construction, Ă  l’existence de l’univers combien mĂȘme nous sommes infinitĂ©simalement petits dans ce monde. Et nous participons en existant dans ce infinitĂ©simalement grand, cet univers. Telle peut ĂȘtre la rĂ©ponse Ă  nos questions sur le sens mĂ©taphysique de notre ĂȘtre. L’homme ne peut dĂ©tenir la vĂ©ritĂ© absolue, mais il a ce pouvoir de savoir Ă  son Ă©chelle et Ă  l’échelle du tout mais toujours Ă  ce qui lui est donnĂ© de savoir. Medjdoub Hamed Auteur et chercheur spĂ©cialisĂ© en Economie mondiale, Relations internationales et Prospective Notes 1. Message reçu de Mohammed Bensadek, ami et ancien collĂšgue qui porte un grand intĂ©rĂȘt Ă  la gĂ©opolitique et au devenir mondial 2. L’arme qui a changĂ© l’histoire. Pourquoi l’ apocalypse nuclĂ©aire », malgrĂ© Hiroshima et Nagasaki, n’est pas du ressort de l’homme ? », par Medjdoub hamed. Le 25 aoĂ»t 2018 3. Essai sur le libre arbitre », Arthur Schopenhauer. Traduction de Salomon Reinach 1894 4. Discours de Harry Truman – 7 aoĂ»t 1945 » 5. Hiroshima le combat des hibakusha » contre l’oubli », par le journal Le Monde. Le 2015 6. DeuxiĂšme message de Mohammed Bensadek 7. Seine-et-Marne une jeune femme se jette sous un train avec son bĂ©bĂ© », par Europe 1. Le 04 septembre 2018 8. Entre libertĂ© et destin, le libre-arbitre conscient et inconscient de l’homme ? Une guerre nuclĂ©aire entre les USA et la CorĂ©e du Nord ? », par Medjdoub Hamed. Le 23 juin 2017
salutĂ  tous. depuis un moment je suis face Ă  une rĂ©flexion qui ne fait que soulever des questions. C'Ă©tait de savoir au dĂ©part : l'Etre Humain est libre ou pas Le jour oĂč Adam rĂ©futa MoĂŻse Le ProphĂšte ï·ș a dit Le ProphĂšte MoĂŻse fit des reproches Ă  Adam ; MoĂŻse dit Ă  Adam Ô... Rien ni personne ne peut aller Ă  l’encontre de ce qu’Allah t’a destinĂ© Ibn Abbas Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه a dit J’étais une fois assis en croupe sur la monture du ProphĂšte ï·ș... Personne ne devra son salut grĂące Ă  ses Ɠuvres seulement Le Messager d’Allah ï·ș a dit Rapprochez-vous de la perfection, rectifiez continuellement... Le croyant a une destinĂ©e Ă©tonnante ! Le Messager d’Allah ï·ș a dit Le croyant a une destinĂ©e Ă©tonnante ! Tout ce qui lui... Regarde celui qui a moins que toi plutĂŽt que celui qui a plus Le Messager d’Allah ï·ș a dit Regardez ceux qui sont dans une situation moins bonne que la... Ne dis pas » Si seulement j’avais fait ci ou cela » Le Messager d’Allah ï·ș a dit Le croyant fort est meilleur et plus aimĂ© auprĂšs... Celui que Allah aime, il l’éprouve Le Messager d’Allah ï·ș a dit La grandeur de la rĂ©compense est Ă  la mesure de la grandeur... Le croyant a une destinĂ©e Ă©tonnante ! Le Messager d’Allah ï·ș a dit Le croyant a une destinĂ©e Ă©tonnante ! Tout ce qui lui... Le destin de chacun est Ă©crit au moment de sa conception dans le ventre de sa mĂšre Le ProphĂšte ï·ș a dit Allah met un ange en charge de l’utĂ©rus et celui-ci dit... Les Ɠuvres ne dĂ©pendent que de leurs fins Sa`d bin Sahl As-Sa`idi rapporte Le ProphĂšte ï·ș observa un homme qui combattait contre les... La peste est une misĂ©ricorde d’Allah pour le croyant Le ProphĂšte ï·ș a dit parmi ce qu’il a racontĂ© au sujet de son Seigneur Puissant et Glorieux ... Quand Allah aime quelqu’un, il l’éprouve Le Messager d’Allah ï·ș a dit Quand Allah veut du bien Ă  Son serviteur, Il accĂ©lĂ©re son... d976. 363 165 315 212 74 302 393 187 398

allah peut il changer notre destin amoureux