Commentaires Le 11 juillet 2022 à 17 h 51 min, Chambon a dit Bonjour ,Tout d'abord félicitation tres belle realisation. J ai trois questions,vous avez des angles quasi droit comment avez vous éviter les amas de plies ? Pour la filtration pouvez vous detaillez par bac et enfin j ai l impression que vous avez mis directement les cailloux sur la bache EPDM alors que classiquement j ai vue reposer du geotextile sur l EPDM pour le proteger ? Merci Le 12 juillet 2022 à 15 h 23 min, Anthony PiscineInfoService a dit Bonjour C'est une construction qui a été faite en hollande. L'album source sur imgur n'existe plus Le 1 septembre 2020 à 13 h 14 min, Axel a dit Bonjour et merci pour ce super blog sur les piscines naturelles. Je suis un lecteur régulier depuis de nombreuses semaines et j'apprécie la qualité des articles. Pour moi, ce qui a bien fonctionné c'est cette méthode Je me permet de la poster ici car elle aide des milliers de personnes au quotidien. Merci et à bientôt sur d'autres articles. Le 23 mai 2020 à 11 h 19 min, johanna a dit Bonjour Merci pour cet article de qualité. Cela faisait un moment que je souhaitais avoir ma propre piscine mais je pensais que c'était très cher et que je n'avais pas les compétences pour le faire, heureusement grâce à cette méthode le rêve est devenu réalité à bas coup. Je suis fier de ma piscine naturelle que j'ai construit de mes propres mais. Si jamais cela intéresse quelqu'un voici comment j'ai fait Bonne journée. Le 3 juin 2020 à 23 h 39 min, Elhadji Cheikh a dit Merci beaucoup pour ces conseils. Personnellement j'ai acheté un livre électronique sur ce sujet et il m'a permis d'avoir de nombreux conseils d'expert et des idées géniales pour ma future piscine naturelle. Voici le lien pour les intéressés Bonne chance Le 13 avril 2016 à 16 h 40 min, TEAM269 a dit Votre réalisation est magnifique et correspond à ce que nous aimerions faire!!! Le 8 mai 2020 à 1 h 16 min, Raoul a dit Bonjour et merci pour ce blog vraiment interresant. J’apprècie la qualité du contenu et ses details, pour ma part j’ai utiliser cette methode pour m’aider a le réaliser je vous la partage ci-dessous, très utille. Je me permets de la Poster ici car elle a aider plusieurs personnes. Le 8 mai 2020 à 8 h 31 min, Anthony PiscineInfoService a dit Merci du partage
Unefiltration mécanique adaptée vient compléter le processus naturel d’entretien d’une piscine écologique assuré comme nous l’avons vu par le biotope et la biocénose. Pour ce faire, il est possible de recourir à différents filtres à installer en amont du système de filtration naturelle, c’est-à -dire dans la zone de baignadeLefond de l'étang aux canards est recouvert d'argile de 10 à 15 cm d'épaisseur, qui est battue. Ensuite, une couche de sable pressé de 10-15 cm est versée sur le dessus. Cependant, il est plus rationnel d'utiliser des matériaux d'imperméabilisation.Ils sont posés au fond de la fosse.
Entre mars et septembre, c’est le bon moment pour aider la vie sauvage à s’établir dans votre jardin. Alors que les zones humides sont en voie de disparition, que diriez-vous d’agrémenter votre jardin d’une petite mare ? Rédigé par , le 8 Jul 2022, à 17 h 35 min Vous trouvez que votre jardin manque d’originalité et n’est pas suffisamment représentatif de notre riche biodiversité ? Ou vous rêvez tout simplement d’entendre le clapotis de l’eau et voir des petits amphibiens s’épanouir dans votre jardin ? Sachez que vous pouvez réaliser votre propre mare naturelle ! Suivez le guide pour un petit milieu aquatique harmonieux… Conseils pour fabriquer une mare naturelle En réalisant votre mare, vous pourrez ainsi y installer de nombreux végétaux aquatiques de tailles variables. Les grenouilles s’y sentiront comme chez elles ! Une mare pour attirer la faune sauvage aquatique © Antimon Les différentes techniques pour construire le bassin naturel Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe différentes techniques consistant à fabriquer un bassin qui puisse être rempli d’eau de façon naturelle ou humaine, limitant les effets de l’évaporation par les apports de la pluie, via un bassin hydrologique toit, pelouse, prairie…. Attention avant de vous lancer, il est important de déterminer l’usage que vous voulez faire de votre plan d’eau, la surface de celui-ci, le coût de construction et d’entretien que vous pouvez envisager. Gardez aussi en tête que si vous souhaitez créer un habitat pour la faune locale, il ne faudra pas introduire de poissons trop voraces pour les amphibiens et qui ont leur place dans un étang plus qu’une mare ! Si dans votre région, la nappe phréatique est très proche du sol, la création de la mare sera très simple, car il suffit de creuser un trou de la taille et de la forme souhaitée pour avoir de l’eau, et cela permettra une colonisation végétale spontanée. De l’argile naturelle pour étanchéifier le terrain… Pour étanchéifier naturellement un terrain, on peut tout simplement utiliser de l’argile, qui est un étanchéifiant naturel. Cette méthode a été utilisée dans le passé pour élaborer la plupart des mares. L’eau d’alimentation proviendra de la pluie et du ruissellement, parfois de la récupération de l’eau d’un toit. Créer une mare dans son jardin © Toa55 L’argile devra être disposée sur toute la surface sur une épaisseur de 20 à 30 cm pour assurer l’étanchéité et une longévité importante à la mare. Cette argile sera damée avec vigueur sur toute la surface. Les bords devront être de préférence en pente douce pour éviter les éboulements de terre. Puis, il est essentiel de mettre en eau très vite pour éviter la détérioration de l’argile par les plantes ou encore les galeries de rongeurs. À noter Si l’eau ne reste pas dans la mare, c’est probablement parce que la taille du bassin hydrographique d’alimentation en eau est trop petite, ou à cause d’une étanchéité défaillante de la mare. En raison d’un manque de pluie et de l’évaporation, l’eau peut aussi parfois ne rester qu’une partie de l’année. C’est ce que l’on appelle une mare temporaire, souvent très riche sur le plan biologique. Dans l’idéal, une mare ne doit pas dépasser 1,5 mètre de profondeur. 2 ou 3 m2 de terrain sont déjà suffisants pour créer une mare dans le jardin. Mais certaines mares font jusqu’à 25 m2. Éviter la proximité immédiate des grands arbres les racines peuvent endommager la mare et surtout les feuilles mortes risquent de s’accumuler au fond année après année. ou une bâche en plastique… Les bâches en plastique sont très intéressantes pour étanchéifier le terrain. L’eau pluviale sert ensuite à remplir la mare. Leur coût est relativement faible. Il suffit de disposer simplement une bâche spéciale dans un trou, pour le rendre étanche. Toutefois, la bâche en plastique présente quelques inconvénients plus ou moins importants Le manque d’esthétique des bords, la fragilité la bâche n’est pas très amie avec les cailloux ni les dents des rongeurs, le problème d’installation des plantes à cause du manque de substrat. Les bâches sont disponibles dans les jardineries, mais il faut vérifier qu’elles soient soudables, pour pouvoir assembler deux morceaux afin d’obtenir une grande taille. Par ailleurs, la bâche devra être assez épaisse pour résister aux UV, au gel, à l’usure et aux coupures. La technique de la bâche tendue pour créer une mare © Paul Vasarhelyi Une astuce pour préserver la bâche le plus longtemps possible déposer un lit de sable d’environ 5 cm dans le trou avant de déposer la bâche. Plantez des végétaux ! Après quelques mois, l’eau de pluie aura rempli la mare. Vous pourrez alors introduire des animaux de votre région et commencer à planter des végétaux en évitant les espèces exotiques. L’équilibre écologique pourra alors être atteint et le milieu aquatique n’aura plus de secret pour vous ! Bon à savoir Contrairement aux idées reçues, une mare dans votre jardin ne causera pas d’invasions de moustiques ! En effet, si elle est équilibrée, elle sera plutôt infestée » d’amphibiens qui sont des prédateurs pour ces insectes redoutés. Article republié Illustration bannière Créer une mare faire un bassin naturel sans bache – © KK Art and Photography consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Elwina Elle est une des rédactrices historiques de consoGlobe et en connait un vaste rayon sur le développement durable Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur
Sivotre jardin est en pente, votre piscine peut être partiellement enterrée et partiellement hors sol. De cette façon, vous pouvez intégrer au mieux l’étang dans le jardin, en l’aménageant avec une terrasse surélevée. Si vous choisissez d’enterrer partiellement votre piscine, vous devez déposer un dossier de pré-embauche en mairie.Se baigner dans une eau claire une piscine naturelle et écologique Publié le 11/01/2012 - Modifié le 30/06/2021 La piscine naturelle propose de retrouver le plaisir de se baigner dans une eau limpide au cÅ“ur d’un véritable jardin aquatique. Un environnement écologique où les plantes garantissent la qualité d’une eau non traitée chimiquement. La conception du drain sous la piscine naturelle Si après une étude, un drain s’avère utile, il est nécessaire de surcreuser » le fond du bassin de baignade de 50 cm pour y placer le système de drainage. Celui-ci est composé d’un film géotextile placé au fond de la fosse, d’un tuyau de drainage Ø 80 mm disposé en courbes de grands rayons sur le géotextile et d’un autre tuyau de drainage sur le pourtour de la piscine. Le tout est comblé de bas en haut à l’aide de cailloux granulométrie 3 à 6 cm, puis de gravier et de remblai. Le géotextile est alors rabattu pour empêcher la terre de colmater le drain. L’évacuation est réalisée dans un fossé en contrebas, dans un puits perdu ou dans un puits de décompression muni d’une pompe avec mise en route automatique par flotteur. Un petit jardin aquatique pour se baigner La piscine dite naturelle ne s’apparente en rien à un bassin classique. Le concept se rapproche davantage d’un jardin aquatique dans lequel il est possible de se baigner. Bien que l’eau ne reçoive aucun traitement chimique ou par ultraviolets, tout y est naturel et bien vivant les micro-organismes ne sont pas tués », au contraire. Fini les yeux rouges et les allergies ! La piscine ressemble à un véritable coin de nature. Certaines variétés de plantes s’y développent et la baignade se partage également avec de petits poissons blancs uniquement. L’eau y est limpide comme celle des trop rares rivières et des lacs de montagne non pollués par les nitrates et les pesticides. Mais rien d’évident ! Une piscine naturelle doit être pensée selon un strict cahier des charges. Cette démarche permet de créer un milieu favorable dans lequel l’eau se régénère naturellement. Autoépuration en piscine naturelle Développé et breveté par la société Bioteich, le procédé Baignades naturelles » conserve à l’eau toute sa limpidité par une autoépuration physique, bactériologique et biologique. Pour obtenir un tel résultat, l’eau circule dans un circuit fermé. Elle passe successivement d’une cascade pour l’oxygénation à un bassin de régénération avant d’arriver à un bassin de baignade. Là , un conduit la dirige vers une colonne de décantation qui aboutit dans un bassin de filtration. Une pompe alimente le circuit. Concrètement, les deux bassins l’un de baignade et l’autre de filtration sont reliés par un décanteur. Ils sont remplis avec de l’eau potable. Le principe de fonctionnement est simple l’eau du bassin de baignade est aspirée dans le décanteur où les particules lourdes celles ne pouvant être absorbées rapidement par les plantes restent dans le fond. Puis, l’eau remonte dans la colonne du décanteur avant d’être rejetée dans le bassin de filtration où sont plantés des végétaux aquatiques qui font fonction de filtre. Épurée, l’eau est ensuite pompée pour alimenter la cascade oxygénante. Enfin, elle est renvoyée dans le bassin de régénération qui, doucement, la déverse à nouveau dans le bassin de baignade. La pompe de circulation dotée d’un filÂtre spécial fonctionne en permanence. Elle garantit la qualité de l’eau en évitant toute stagnation. En cas de panne ou d’arrêt de courte durée pour la maintenance, par exemple, vous ne risquez pas de voir apparaître des impuretés, même en été. Si néanmoins des micro-algues se développent, elles disparaîtront dès la remise en service du circuit le traitement est assuré par les bactéries 99,9 % d’entre elles ne sont pas dangereuses pour la santé. Attention, ce procédé ne traite pas une eau salie ! Il permet uniquement de maintenir la propreté initiale. C’est pourquoi il est préférable de remplir le bassin avec l’eau du robinet. Les eaux de pluie sont déconseillées ; quant à l’eau de source pas toujours limpide, elle n’est utilisable qu’en cas de forage profond. Autoconstruction d'une piscine naturelle contre piscine classique davantage d’espace La conception de ces bassins demande deux à trois fois plus d’espace qu’une piscine classique. Ici, 70 m2 de surface en eau sont nécessaires pour 30 m2 de baignade. À cette exigence près, ils peuvent être implantés dans toutes les configurations de terrain. Il est néanmoins préférable d’accompagner la démarche d’une réflexion sur la configuration du jardin. Ce concept est difficilement envisageable sans l’appui d’un professionnel pour réussir l’intégration de la baignade. Comme les piscines traditionnelles, la mise en Å“uvre débute par les travaux de terrassement creusement des bassins de baignade, de filtration et de régénération qui jouxte le premier. Le périmètre de l’ensemble régénération et filtration est délimité par une ceinture en béton. Selon la configuration de votre terrain, vous pouvez avoir besoin de réaliser un drain pour collecter les eaux d’infiltration autour et sous l’espace aquatique. Une étape inuÂtile sur ce chantier mais qui ne doit pas être négligée, surtout si un doute subsiste quant à la nature du sol voir "la conception du drain" en fin d'article. Le bassin de baignade est ensuite réalisé de la même façon que celui d’une piscine classique. Toutes les techniques sont envisageables blocs autocoffrants comme ici, mais aussi béton projeté ou structure en bois. Le béton reste la solution la moins onéreuse. Membrane d’étanchéité du bassin de baignade Le gros Å“uvre achevé, un géotextile feutre non tissé est posé au fond des bassins de baignade, de filtration et de régénération pour assurer la protection de la membrane d’étanchéité qui le recouvre. À base de polyoléfines souples et recyclables, cette membrane est neutre sur le plan environnemental. Soudée à l’air chaud, elle bénéficie de bonnes performances mécaniques combinées à une grande souplesse elle peut donc s’adapter à toutes les formes de bassin. De couleur verte, cette membrane est apparente dans le bassin de baignade et recouverte dans le bassin de régénération par des galets et dans le bassin de filtration par un complexe filtrant pouzzolane, galets, gravier roulé par couches successives et éléments filtrants. Avant la mise en eau des deux bassins, des végétaux spécifiques sont plantés. Ils sont de deux sortes épurateurs joncs, iris ou phragmites ou décoratifs papyrus, lotus, nénuphars et menthe. Un simple réchauffage Il est possible de chauffer ou plutôt de réchauffer l’eau de la baignade comme pour un bassin classique. Avant même de penser à un mode de chauffage, gardez à l’esprit que l’eau peut naturellement et rapidement monter en température grâce au soleil. de faible profondeur jusqu’à 60 cm et tapissé de galets, le bassin de régénération assure une partie du réchauffement du bassin de baignade. Tous les moyens de chauffage habituels sont possibles. Même si, avec ce type de procédé, il est préférable de recourir à un chauffage solaire ou géothermique, protection de l’environnement oblige. Attention, il ne s’agit pas de chauffer l’eau à 25 °C au mois d’avril la végétation ne le supporterait pas. C’est pourquoi l’on parle de réchauffement plutôt que de chauffage. En fait, l’augmentation de la température de l’eau du bassin ne doit jamais excéder 5 ou 6 °C. Par exemple, si l’eau est à 18 °C en juin, la température ne pourra pas dépasser 24 °C une fois réchauffée. Le nettoyage Cet espace aquatique exige un minimum d’entretien identique à celui d’une pisÂcine passage du robot pour nettoyer le bassin de baignade, nettoyage des plages, des skimmers et du filtre de la pompe. Auquel s’ajoute, comme pour un jardin, l’entretien des plantes aquatiques. Il consiste principalement à les rabattre raccourcir en fin de saison et à empêcher tout développement anarchique. De petites algues vertes peuvent apparaître enlevez-les à la main. N’utilisez pas de produits chimiques qui mettraient en péril l’équilibre naturel de la baignade. Le bac décanteur doit être nettoyé tous les cinq ans. Et chaque année, il est nécessaire de réensemencer » en bactéries pour garantir la bonne qualité de l’eau. Le budget se situe dans le haut de la fourchette, à la hauteur du projet ! Il comprend toutes les prestations nécessaires à la réalisation de la baignade naturelle, depuis les terrassements jusqu’à la mise en eau. Soit environ 600 € par mètre carré d’eau. Un budget complémentaire est parfois nécessaire pour l’aménagement des abords du jardin et des terrasses en bois. Sans oublier, bien sûr, le système de sécurité antinoyade des jeunes enfants alarme ou barrière antichute qui, rappelons-le, est devenu une obligation. Terrassement Après étude du terrain, le terrassement est effectué en respectant les profondeurs les abords, les zones de bassins 1,60 m et la tranchée entre le bassin de baignade et de celui de filtration. Le bassin de baignade Le fond du bassin de baignade est préparé pour le coulage de la dalle. La qualité du béton et l’armature déterminent sa solidité. Le ferraillage est constitué de treillis soudés Ø 3 mm et mailles de 15 par 15 cm. La dalle ép. 20 cm n’est réalisée que pour le bassin de baignade. Elle est exécutée avec un béton livré en camion prêt à l’emploi dosé à 350 kg de ciment/m3 de béton. Installée avant le coulage, la bonde de fond est protégée. Le premier rang de blocs coffrants en agglo creux à bancher est effectué sur la dalle. Les fers à béton sont mis en place au fur et à mesure. L’usage du cordeau et du fil à plomb est indispensable pour obtenir un niveau parfait. Construction des bassins de régénération et de filtration Étape suivante la mise en place de la bordure en béton qui délimite le périmètre du jardin aquatique délimitation des bassins de régénération et d’épuration. C’est également à ce moment-là que la cascade est réalisée. Un géotextile feutre non tissé est déroulé sur toute la surface des trois bassins baignade, régénération et filtration. Il faut éviter le poinçonnement de la membrane d’étanchéité qui viendra le recouvrir. La membrane d’étanchéité est d’abord posée au fond du bassin de baignade. À base de polymères synthétiques, elle est entièrement recyclable et insensible aux attaques chimiques tout en étant très résistante. À l’extérieur du bassin de baignade, le bassin de régénération est également rendu étanche par la pose de la membrane déroulée sur le géotextile. Les soudures sont réalisées par thermosoudage. Dans les bassins de régénération et de filtration, un second géotextile plus rigide est installé sur la membrane d’étanchéité pour la protéger. Le bassin de filtration mise en place du filtre Le décanteur a été mis en place sous le bassin de filtration. Seule, la sortie est visible buse en béton. Elle sera cachée plus tard parmi les plantes filtrantes. Avant cette étape, le bassin est rempli du complexe de filtration. Le filtre du bassin de régénération Pour délimiter la zone de baignade, la bordure de béton est couronnée par des poutres en bois solidarisées au gros Å“uvre par chevillage il est possible de prévoir une ceinture en pierre. Une première mise en eau permet de vérifier l’étanchéité. Couvert de galets, le bassin de régénération commence à être planté. Les végétaux sont mis en place à sec sur un substrat spécifique. La régénération de l’eau est assurée par les plantes qui contribuent également à l’aspect naturel du jardin aquatique. Intégration dans le jardin Les plantations terminées, l’ensemble du jardin aquatique est mis en eau. Construit en bois imputrescible, le ponton permet d’accéder directement à la baignage, en passant au-dessus de la zone de régénération. Le retour de l’eau dans le bassin peut s’effectuer par une cascade réalisée en pierre de pays. D’autres solutions plus discrètes sont envisageables, comme de simples buses. Pour que le projet soit complet et homogène, la création d’un lien entre le jardin aquatique et le jardin proprement dit contribue à son intégration au site. Dans tous les cas, la baignade fait partie du jardin. Texte Stéphane Miget Illustration Frédéric BurguièrePISCINE- Ici, aucune goutte de chlore : les microbes sont dégradés par des bactéries et des UV. De quoi diviser par 10 la consommation d'électricité et par 50 la consommation d'eau. L'inconvénient des baignades naturelles, où l'eau est filtrée par des plantes sans aucun produit chimique ? Ces bassins risquent de se transformer en étangs s'ils ne Rendre un terrain, une parcelle constructible Commençons par évoquer brièvement les conditions qui font d’une parcelle un terrain constructible ou non. Si vous voulez approfondir le sujet, consultez notre article Comment savoir si un terrain est constructible ». Sachez que trois grands critères doivent être respectés, et feront qu’un terrain sera apte à recevoir votre construction. Ces trois critères doivent tous être réunis. 3 critères pour rendre un terrain constructible Le terrain doit être viabilisé. Cela signifie qu’il doit pouvoir être raccordé ou raccordable à une ou plusieurs voiries. Ce raccordement est capital car il permet tant l’accès du trafic automobile que la connexion aux réseaux collectifs eau, électricité, téléphonie, gaz, etc.. Le terrain doit être juridiquement autorisé à recevoir une construction. Pour savoir si les autorités compétentes autorisent une construction, il faut se référer au plan local d’urbanisme PLU et demander en mairie un certificat d’urbanisme. Ce dernier est applicable à chaque terrain et détermine directement sa constructibilité ou sa non-constructibilité. Enfin, le terrain doit pouvoir recevoir une construction. Il faut pour cela évaluer la capacité du sol à supporter une construction neuve. Cette évaluation est menée en tenant compte du poids et des charges futures de la construction, notamment, et en s’intéressant à la composition du sol. Comment un terrain non-constructible peut-il devenir constructible ? Plusieurs solutions s’offrent à vous si vous voulez que votre terrain actuellement non-constructible le devienne. Si le terrain se situe dans une zone non-constructible, vous pouvez demander une modification du PLU ou le contester. Si le problème est lié à la nature des sols, vous pouvez commander une étude complète pour identifier les risques, et ensuite adapter votre projet. Enfin, nous évoquons aussi le cas d’un terrain qui peut ne pas être constructible car nécessitant des aménagements. Demander une révision du PLU La première démarche à envisager afin de rendre un terrain constructible si celui-ci ne se situe pas dans une zone adaptée consiste à demander une modification du PLU. En effet, si le point de blocage est le zonage avec votre terrain situé dans une zone non-constructible de type A, N alors vous avez le droit d’effectuer une demande de requalification de votre parcelle auprès du maire de la commune où se situe le terrain. Attention, le maire seul ne peut pas faire évoluer ce document d’urbanisme. Il doit se référer aux règles en place et consulter plusieurs parties prenantes. C’est le cas notamment si votre commune est dotée d’un PLUI, c’est-à -dire un plan local d’urbanisme intercommunal. Votre demande de modification de PLU doit être détaillée et justifiée. Il vous faut des arguments pour rendre un terrain constructible. Justifiez votre demande en expliquant que votre projet ne va pas nuire au développement voulu par la commune et s’inscrit dans la logique d’urbanisme en place. Montrez également que votre projet n’a pas d’impact sur l’environnement et ne constitue en aucun cas une source de nuisances ou de risques. Il existe en ligne des modèles de lettre de demande pour rendre un terrain constructible si vous demandez à modifier le PLU. Vous pouvez les consulter et vous en inspirer, mais nous vous recommandons de personnaliser votre demande et d’y présenter des arguments solides. Une modification de PLU n’est pas une démarche anodine. Il faut montrer votre sérieux et votre engagement. Un modèle qui ne traduit pas votre implication et votre motivation a peu de chance d’aboutir. S’opposer au Plan Local d’Urbanisme Autre démarche que vous pouvez mener pour rendre un terrain constructible, la contestation du PLU. Cette démarche se rapproche de la demande de modification. Toutefois, elle ne repose pas sur un recours gracieux, mais bien sur une contestation directe du PLU, sur le fond ou sur la forme. Il existe une grande variété de voies de recours. Vous pouvez par exemple mettre en cause un zonage jugé inapproprié ou un coefficient des sols considéré comme insuffisant. Un accompagnement par un professionnel du droit est recommandé pour que votre recours soit fondé et puisse donner lieu à une réponse positive. Effectuer une étude des sols Si votre terrain est jugé comme non-constructible à cause de la nature des sols, tout n’est pas pour autant perdu. Le document qui fait autorité est l’étude de sol, également appelée étude géotechnique. Menée par un géotechnicien, elle permet une connaissance détaillée des sols de fondation. On peut y apprendre la sensibilité à l’eau, les tassements ou gonflements à attendre dans le futur, les capacités portantes de l’ensemble ou encore le risque sismique. Cette étude, même si elle se conclue par l’identification d’un ou de plusieurs risques, peut vous aider à rendre un terrain constructible. Oui, une fois les risques connus, vous pouvez agir et faire de votre projet de construction une réalité. Adaptez le projet en fonction des résultats de l’étude. Le projet doit être adapté pour que sa structure et son habilité puissent être compatibles avec la nature des sols. Il ne sera peut-être pas possible de construire sur plusieurs niveaux ou encore dans une partie précise du terrain… mais le projet peut peut-être aboutir avec des adaptations. Elles ne sont pas nécessairement très couteuses si elles sont prévues dès le début, et ne nécessiteront qu’un surcoût en matière d’étude, pas obligatoirement en matière de matériaux / construction. Vous pouvez changer totalement de projet si les risques ne sont pas maitrisés. Changer la configuration du bâtiment, son emplacement, l’emprise au sol, etc. S’opposer au Plan Local d’Urbanisme Beaucoup d’anciens terrains urbains peuvent être qualifiés de terrains non-constructibles. On parle alors d’une impossibilité liée à l’aménagement propre de la parcelle, qui rend toute nouvelle construction ou toute extension impossible. La construction en place ne respecte pas le PLU ou encore le règlement en vigueur en matière de hauteur des bâtiments, emprise au sol, etc. Si vous rencontrez ce cas précis d’une constructibilité réglementairement subordonnée à une restructuration d’ensemble de l’aménagement, alors vous n’avez d’autre choix que de vous soumettre aux règles. Il faut réaménager et/ou reviabiliser lorsque cela est nécessaire. Le cas peut se présenter si vous faites l’acquisition d’un ancien espace industriel ou d’un vieux local commercial situé dans une zone urbaine. En théorie, il est possible d’y construire… mais votre projet doit au préalable être basé sur un réaménagement complet et une adaptation de la parcelle raccordement aux réseaux, démolition, etc. Ce qu’il faut retenir Rendre un terrain constructible est une démarche qui peut s’avérer complexe et dont la difficulté est directement liée à la nature du terrain lui-même sa localisation, son zonage, ses sols, les bâtiments déjà en place. Faites-vous accompagner dans vos démarches pour obtenir une réponse positive et construire la maison de vos rêves. NvrM1. 57 87 164 105 73 251 434 384 243